Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Trump vu par le peintre kényan Evans Yegon

Trump vu par le peintre kényan Evans Yegon
Tous droits réservés 
Par Euronews
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

D’un président américain à l’autre.

PUBLICITÉ

D’un président américain à l’autre. Si Barack Obama a fait les beaux jours du peintre kényan Evans Yegon, alias Yegonizer, le temps est venu pour lui de se consacrer à un modèle d’un tout autre acabit : Donald Trump dont la grande plasticité faciale a le mérite de ne pas le laisser indifférent.

“J’ai décidé de peindre Donald Trump parce que c’est un sujet et un personnage intéressants”, nous explique-t-il. “Dans mes tableaux, il est avant tout question des expressions de son visage, de ses mimiques quand il parle. J’ai décidé de le peindre, car il est à la fois détesté et aimé. Il y a les deux extrêmes : des gens qui l’adorent et d’autres qui le détestent.”

Evans Yegon s’est notamment fait connaître lors de la visite en 2015 de Barack Obama au Kenya, le pays natal de son père. L’occasion pour le jeune artiste de vendre une trentaine de portraits du président sortant.

Avis aux amateurs : dix toiles à l’effigie de son successeur sont déjà en vente.

Résolument optimiste, Evans Yegon, en est convaincu, la cote de popularité de Donald Trump finira, elle aussi, par s’envoler :

“La perception que les gens ont de lui, de ce qu’il a dit pendant la campagne, pour moi tout ça, c’est de la stratégie électorale. Au départ, je ne m’attendais pas à ce que Trump devienne président. Ça a été un choc”, nous confie-t-il. “Mais maintenant, il faut faire avec et ce, pendant quatre ans. Alors, on doit apprendre à l’aimer.”

Gros plan sur la popularité de Donald Trump par AFPgraphics</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/AFP?src=hash">#AFP</a> <a href="https://t.co/OMUoAoRwmD">pic.twitter.com/OMUoAoRwmD</a></p>&mdash; Agence France-Presse (afpfr) January 18, 2017

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Festival de musique de Gabala : Six jours d'opéra et de jazz dans le Caucase

"L'homme est un animal de la Terre", disait Sebastião Salgado à Euronews en 2020

L'Ouzbékistan présente la ville moderniste de Tachkent à la Biennale de Venise 2025