France, Allemagne et Italie côte-à-côte pour relancer la machine européenne, c‘était le symbole fort de ce début de semaine.
France, Allemagne et Italie côte-à-côte pour relancer la machine européenne, c‘était le symbole fort de ce début de semaine. Mais pour Angela Merkel, ce n’est que le coup d’envoi d’une tournée européenne qui la ramène ce mardi à Düsseldorf, en compagnie du Prince William, pour célébrer les 70 ans de la région de Rhénanie du Nord-Westphalie.
Mercredi, elle passera par Tallinn (Estonie) pour visiter le centre de cybersécurité de l’OTAN. Ensuite, direction la résidence officielle du Premier ministre tchèque, Sobotka, à Prague.
Vendredi, Angela Merkel doit déjeuner à Varsovie (Pologne) avec les représentants du groupe de Visegrad (République tchèque; Pologne; Hongrie; Slovaquie) ainsi que plusieurs dirigeants d’Europe du Nord.
Enfin samedi, retour à Berlin pour une dernière entrevue avec les chefs d’Etat et de gouvernement de Bulgarie, d’Autriche, de Croatie et de Slovénie.
En 6 jours, la Chancelière allemande va donc traverser 6 villes à la rencontre de 15 leaders européens et d’un prince.
Une opération de communication et de charme pour Angela Merkel à la veille du sommet extraordinaire de Bratislava. Il faudra y définir l’orientation de l’Europe de demain, sans la Grande-Bretagne, et la Chancelière veut s’assurer du soutien d’un maximum de pays.