Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Donald Tusk : un Brexit sans accord serait « mauvais »

Donald Tusk : un Brexit sans accord serait « mauvais »
Tous droits réservés 
Par Euronews
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button

Alors que le Royaume-Uni se prépare à lancer les négociations de sortie de l’Union européenne, de nombreuses interrogations persistent sur le partenariat à…

PUBLICITÉ

Alors que le Royaume-Uni se prépare à lancer les négociations de sortie de l’Union européenne, de nombreuses interrogations persistent sur le partenariat à venir. Plusieurs scénarios sont envisagés sur l’issue des pourparlers, y compris l‘éventualité de ne pas trouver de compromis. Mais le ministre britannique en charge du Brexit ne peut pas encore évaluer l’impact de cette option. « Je ne peux pas le quantifier dans le détail. Je devrais être en mesure de le faire d’ici un an », explique David Davis.
Devant les eurodéputés, le président du Conseil européen lance d’ailleurs un avertissement au gouvernement britannique. « Je veux être clair sur le fait qu’un scénario sans accord serait mauvais pour tous, et en particulier pour le Royaume-Uni », souligne Donald Tusk. Dans les rangs du Parlement européen la fermeté est identique. Pour le libéral allemand Alexander Lambdsdorff, le Brexit veut dire couper les liens. « Une fois le Royaume-Uni sorti, il ne sera plus membre du club. Il ne peut pas espérer obtenir un accord où il aurait tous les privilèges sans être membre de notre communauté », ajoute-t-il.
Ce débat au Parlement intervient dix jours avant les célébrations du 60e anniversaire du traité de Rome, fondateur de l’Union européenne. Pour les 27 pays membres restants il s’agit aussi de se préparer l’avenir commun après le Brexit.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Adhésion de l'Ukraine : l'UE envisage de modifier les règles pour contourner le veto hongrois

Le Conseil de l'Europe "prêt" à créer le tribunal pour l'Ukraine, a fait savoir son secrétaire général

Viktor Orbán remet en question la souveraineté de l'Ukraine sur fond d'incursion d'un drone hongrois