L’Union cycliste internationale aurait trouvé la parade au dopage technologique. Les responsables de l’UCI ont dévoilé leur nouvelle méthode pour
L’Union cycliste internationale aurait trouvé la parade au dopage technologique.
Les responsables de l’UCI ont dévoilé leur nouvelle méthode pour détecter les moteurs, les aimants ou les batteries dissimulés dans les cadres des vélos.
Plutôt que d’utiliser les rayons X, l’imagerie thermique ou les ultrasons, voyons de quoi il s’agit.
Mark Barfield travaille comme technicien pour l’Union cycliste internationale : Nous faisons un test de résonance magnétique avec une tablette, un boîtier et un adaptateur qui créent un champ magnétique. Cela mesure la résistance de ce champ et cela nous donne un indice sur la présence d’un composant anormal, d’un moteur ou d’une masse solide.
Le premier cas de tricherie mécanique avéré date du mois de janvier lors des championnats du monde de cyclo-cross avec la découverte d’un moteur dans le vélo de la jeune Belge Femke Van den Driessche, ce qui lui a valu six ans de suspension.
Depuis, rien d’anormal selon l’UCI malgré les centaines de contrôles inopinés effectués lors des Mondiaux sur piste, du Tour des Flandres, de Paris-Roubaix et, la semaine dernière, du Tour de Romandie.
UCI reveals technology used to detect mechanical doping https://t.co/1H6chTNrvUpic.twitter.com/OOSDohmHOA
— Cyclingnews.com (@Cyclingnewsfeed) May 4, 2016