Un candidat polémique, non conventionnel, mais qui s’impose sans conteste à la convention républicaine : Donald Trump, le milliardaire et star des médias qui a son étoile sur Hollywood…
Un candidat polémique, non conventionnel, mais qui s’impose sans conteste à la convention républicaine :
Donald Trump, le milliardaire et star des médias qui a son étoile sur Hollywood boulevard.
EXCLU:
realDonaldTrump</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/WalkOfFame?src=hash">#WalkOfFame</a> star destroyed by vandal Read here: <a href="https://t.co/NqGnncyrPi">https://t.co/NqGnncyrPi</a> <a href="https://t.co/ReFkXZDIJc">pic.twitter.com/ReFkXZDIJc</a></p>— Dominic Patten (
DeadlineDominic) 26 October 2016
Et le soir du 21 juillet 2016, à Cleveland, plus que jamais, la Maison Blanche lui semble à sa portée :
Un an plus tôt, le magnat de l’immobilier se lance dans la course à présidentielle.
Personne alors parmi les barons du parti républicain ne prend au sérieux ce personnage haut en couleurs, sans expérience politique, qui au début des années 2000 se disait proche du Parti démocrate :
Join me tomorrow in Michigan!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 31 October 2016
Grand Rapids at 12pm:https://t.co/xFPRNF7pnF
Warren at 3pm:https://t.co/DREwbH7ZVdpic.twitter.com/iyXwiP0rvd
Le slogan de Donald Trump claque autant que celui de Barack Obama en 2008. Son aisance, sa désinvolture devant les caméras l’aident à distancer ses concurrents. Il se présente comme l’alternance à l’establisment politique perçu comme figé et déconnecté des réalités quotidiennes. Au risque de perdre l‘électorat hispanique, Donald Trump lance alors sa promesse de construire un mur contre l’immigration
Les trois débats présidentiels ne tournent par à l’avantage de Donald Trump qui fait face aux révélations sur son rapport aux femmes. Hillarty Clinton paraît plus calme et mieux maîtriser ses dossiers quand Donald Trump s’embourbe dans les justifications :
Le républicain est alors sur la défensive face à une Hillary Clinton qui passe à l’offensive. Mais à seulement quelques jours du scrutin, coup de théâtre. Donald Trump retrouve des couleurs : le FBI annonce la réouverture de l’affaire des mails d’Hillary Clinton passés par un serveur privé quand elle était secretaire d’Etat.
Revigoré à une semaine de l'élection, Trump rattrape Clinton dans un sondage respecté, par
ivancouronne</a> <a href="https://t.co/VVUUGlipJh">https://t.co/VVUUGlipJh</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/AFP?src=hash">#AFP</a> <a href="https://t.co/TuAWnvNkZE">pic.twitter.com/TuAWnvNkZE</a></p>— AFP USA (
AFPusa) 1 November 2016
Le milliardaire jubile :
Crooked Hillary should not be allowed to run for president. She deleted 33,000 e-mails AFTER getting a subpoena from U.S. Congress. RIGGED!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 1 November 2016
Hillary Clinton: rien de compromettant dans les nouveaux emails découverts. #AFPpic.twitter.com/xEkpzLAYL5
— Agence France-Presse (@afpfr) 1 November 2016
Très sûr de lui, Donald Trump, avait lâché cette phrase, surprenante, avant même le verdict des urnes :