Près de deux mois après l’attaque meurtrière au gaz sarin contre la ville de Khan Cheikhoun, Idlib plus au nord, en territoire rebelle, montre qu’elle se reconstruit, envers et contre tout. Elle avait été la cible de nombreux bombardements du régime syrien en 2015. L’horloge de la place centrale vient de retrouver sa place.
“Ce projet est porté par une association humanitaire d’Idilb, “Violette”, en collaboration avec le conseil local de la ville. Le but principal de ce projet, c’est de donner du travail aux habitants, c’est un projet de développement. Il va durer trois mois. On va aussi restaurer les parcs et les entrées de la ville“, expliquait un responsable au Media Center d’Idlib.
Au tout début du conflit, en 2011, la place de l’horloge accueillait des centaines de personnes qui protestaient contre le régime de Bachar Al-Assad.
Malgré les bombardements russo-assado-américains, la vie continue à Idlib, capitale de la résistance syrienne. pic.twitter.com/Uk7xPD9tZm
— Abu Ghassan (@lbnfh) 24 mai 2017