Convoquée mercredi devant la justice espagnole, l'ancienne députée a choisi de demeurer en exil.
Et un séparatiste de plus en fuite : Anna Gabriel, l’un des visages de l’indépendantisme catalan, refuse de passer devant la justice espagnole ce mercredi.
L’ancienne députée régionale a annoncé vouloir demeurer en Suisse et se dit prête à solliciter l’asile politique si Madrid demande son extradition.
Risquant jusqu’à 30 ans de prison pour « rébellion », elle avait choisi de s’exiler à Genève, suivant presque le même chemin que Carles Puigdemont, réfugié quant à lui en Belgique.
Au total, ce sont 28 personnes qui sont actuellement poursuivies pour avoir défié la couronne espagnole en réclamant l’indépendance de la Catalogne.