Ils réclament de meilleures salaires et conditions de travail, le minimum quand on constate que certains ne gagnent que 600 euros pour une semaine de 48 heures.
C'est la dernière semaine de la coupe du monde de football qu'ils ont décidé de frapper. Si vous habitez Paris, sachez que les coursiers à vélo de plusieurs plateformes de livraison de repas sont en grève ! Car ils demandent de meilleures rémunérations et conditions de travail.
A l'initiative de ce mouvement, les livreurs d'Uber Eats, Foodora, Deliveroo, Stuart et Glovo qui appellent même les cleints à ne pas commander cette semaine.
"Il est désormais indispensable de renverser le rapport de force", souligne sur Twitter le CLAP, collectif des livreurs parisiens, rappelant qu'il s'agit de "l'une des semaines les plus rentables pour les plateformes".
Ce que réclament les initiateurs de la mobilisation est simple : "une tarification minimum horaire garantie" par leur contrat, "la prise en compte de la pénibilité de travail via différents bonus (pluie, week-end ou nuit...)", ainsi que des "plages de travail et une activité" garanties.
Le minimum finalement...