Mondial de volley: "Juste une petite alerte", assure Ngapeth

Mondial de volley: "Juste une petite alerte", assure Ngapeth
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

La star du volley français Earvin Ngapeth a assuré vendredi que sa blessure aux abdominaux n'était qu'une "petite alerte" et qu'il pourrait jouer le Mondial qui commence dimanche en Italie et en Bulgarie. La France, candidate au podium, dispute son premier match contre la Chine mercredi à Roussé (Bulgarie).

Q: Où en est votre blessure aux abdominaux une semaine après?

R: "On a fait une échographie de contrôle hier (jeudi) et elle était très positive. Il n'y a plus de cicatrice apparente. D'ailleurs, je n'avais déjà plus de douleur. J'ai repris l'entraînement physique et, ce matin (vendredi), un petit peu de ballon. Ca n'a rien à voir avec ma blessure de l'été dernier (au dos) quand c'était complètement déchiré. C'était juste une petite alerte et je pense que je pourrais jouer le Championnat du monde. Pour le moment, il est difficile de dire si je pourrais jouer dès le premier match (mercredi contre la Chine). Il faudra d'abord faire un essai avec du saut, de l'attaque et du service. Quand tu es blessé, l'envie de jouer qui sort de toi est incroyable."

Q: Ces deux dernières années, la France a commencé fort son été avant de craquer lors de la dernière compétition, les JO-2016 et l'Euro-2017. Qu'avez-vous changé dans votre préparation pour éviter que cela se reproduise?

R: "On a fait un gros travail physique, plus dur que les autres années. Au début de la préparation, on a mis un petit peu le volley de côté. C'est la principale chose qu'on a changée. Les deux années précédentes, on était cuit au moment de jouer la deuxième compétition. Du coup, tout avait lâché, y compris le mental."

Q: Votre aventure collective a commencé avec la demi-finale au Mondial-2014 en Pologne. Quel souvenir en gardez-vous?

R: "C'est la compétition la plus frustrante que j'ai jouée. On a fait un Mondial exceptionnel. En demi-finale, on a tout donné pour pousser les Brésiliens dans leurs limites. Mais on n'avait plus d'énergie pour jouer la troisième place le lendemain contre l'Allemagne. C'est aussi à cause de ce match que le Brésil n'a pas été champion du monde (battu par la Pologne en finale, NDLR). Maintenant, on a l'expérience. Si ça devait arriver à nouveau, on n'aurait pas la même approche. C'est ce Championnat du monde qui nous a ouvert les yeux et nous a fait comprendre qu'en bossant bien on pouvait faire plein de choses. Il a été fondateur pour notre groupe."

Propos recueillis lors d'un point-presse.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Les Jeux Olympiques de Paris mettent les petits plats dans les grands !

Judo : Riner sacré pour la huitième fois à Paris, Romane Dicko également en or

Clarisse Agbégnénou décroche sa septième victoire au Grand Chelem de Paris