Loeb: "Toujours un handicap d'ouvrir"

Loeb: "Toujours un handicap d'ouvrir"
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Sébastien Loeb (Peugeot) a compensé une première journée moyenne en allant chercher, mardi, son onzième succès d'étape sur le Dakar-2019. Mais le nonuple champion du monde WRC doit désormais partir seul en tête pour la troisième étape, "toujours un handicap", de son propre aveu.

Q: Finalement, perdre du temps hier pour éviter de partir en premier, c'était la bonne stratégie.

R: On ne voulait pas ouvrir, c'est sûr. Mais on était loin sur la piste, ça ne servait pas à grand chose d'être aussi loin car les traces étaient quand même marquées. Mais oui, la stratégie de ne pas ouvrir était la bonne. On fait une bonne spéciale, on ne fait pas vraiment d'erreur. On ne s'est pas trompé dans la navigation même si ce n'était pas toujours la route idéale...

Q: Êtes-vous rassuré de voir que vous pouvez faire le meilleur temps sur une vraie spéciale, longue et difficile?

R: L'an dernier, on a déjà vu que c'était possible. Là, c'est plus compliqué: les autres voitures ont progressé, nous non. On a bien roulé mais on n'a pas fait l'écart quand même... Globalement, c'est bien. La voiture est encore dans le coup. Donc il y a moyen de jouer un peu.

Q: Résultat, vous faites la bonne opération du jour.

R: On fait une bonne opération, c'est vrai. Par contre, demain, on ouvre la route. Mais bon... si tu ne fais que perdre tout le temps, tu ne gagnes pas à la fin. Donc il faut bien choisir des étapes où on attaque et on ne se pose pas de question.

Q: Vous êtes-vous senti à l'aise dans ces dunes?

R: C'était plutôt compliqué. C'est difficile de reprendre le rythme, de trouver le bon rythme d'attaque parce que c'est piégeux. J'étais parfois hésitant à certains endroits, d'autres où je me faisais surprendre quand même...

Q: Au final, vous passez une belle journée, non?

R: C'est une bonne journée, c'était difficile de faire beaucoup mieux. Attaquer plus, ce serait une connerie. On verra demain ce que ça donne. C'est toujours un handicap d'ouvrir mais on fera avec.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Riner, Malonga et Tolofua en finale au Grand Slam d'Antalya

Grand Chelem de Judo d'Antalya : un podium dominé par la Corée du Sud et l'Autriche

Grand Chelem de Judo d'Antalya : Hifumi et Uta Abe dominent le podium