Coupe de France: après Strasbourg, Metz humilie à son tour Monaco

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Après Strasbourg en Ligue 1 (5-1) samedi, Metz, leader de Ligue 2, s'est à son tour amusé à Monaco (3-1), complètement dans le trou, mardi soir en Coupe de France et s'est logiquement qualifié pour les 8es de finale.

Les humiliations s'enchainent en Principauté. Après Strasbourg en championnat, c'est donc Metz qui s'est tranquillement promené en Coupe de France, face à une équipe de Monaco, complément amorphe, à l'image de son entraîneur, Thierry Henry.

Après sa sortie acide sur la VAR qui n'avait pas fonctionné, mais aussi ses propos injurieux très commentés, lors de la déconfiture face à Strasbourg (1-5) samedi, Henry a décidé de la jouer soft. Du moins, sur le terrain.

Durant toute le match, l'ex-Gunner est resté assis sur son banc. Laissant le soin à ses adjoints Franck Passi et Kwame Ampadu de distiller leurs conseils à une équipe de Monaco, très proche d'une équipe-type.

En effet, excepté Fabregas entré et Naldo suspendu, les grands noms de l'effectif ont été alignés. Avec le retour de Subasic, qui a disputé là son premier match sous l'ère Henry, l'équipe comportait cinq champions de France titulaires en 2017 (Subasic, Sidibé, Glik, Jemerson et Falcao).

Pourtant, les têtes monégasques sont toujours touchées. Et malgré les grands noms, malgré une réelle domination, c'est l'équipe de Metz, leader de Ligue 2 mais qui, elle, avait fait tourner, qui a ouvert la marque.

Henrichs et Tielemans s'emmêlent les pinceaux. A l'affut, le Messin Hein enroule parfaitement. Et Subasic s'incline pour la première fois (0-1, 32).

Lorsque Falcao, le seul Monégasque à jouer à son niveau, égalise après un contrôle du droit et une frappe en pivot du gauche (1-1, 39), on pense les hommes de Henry capables de remporter la rencontre.

Mais une fois encore, l'ASM a démontré trop de largesses défensives pour y croire. Laissé seul, Gakpa a tout le temps d'ajuster une magnifique frappe du gauche pour doubler la mise (1-2, 62).

Monaco passe en 4-1-3-2... et se fait punir en contre. Niane absolument seul finalise (3-1, 74). Et encore, la punition aurait pu être pire car l'attaquant à vu son doublé refusé on ne sait pourquoi (84).

Toujours est-il que la victoire messine n'est même pas un exploit, tant Monaco est faible actuellement. Et que les hommes de Henry, qui se déplacent à Dijon ce week-end pour un match crucial dans la course au maintien sont en dessous de tout...

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