Équateur : les pro-avortement dans la rue après le refus du Parlement d'assouplir la loi sur l'IVG

Vidéo. Équateur : le Parlement refuse d'assouplir la loi sur l'avortement

À Quito, des heurts entre des militants pour le droit à l'avortement et la police ont éclaté ce mardi à l'annonce des résultats du vote sur l'assouplissement de la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse. Le Parlement équatorien s'est, en effet, prononcé contre la dépénalisation de l'IVG pour tous les cas de viol, ainsi qu'en cas de malformation du foetus. La législation actuellement en vigueur dans le pays n'autorise l'avortement que lorsque la grossesse résulte du viol d'une femme présentant un handicap mental, ou bien si la vie ou la santé de la mère est en danger. Selon le code pénal, une femme qui provoque un avortement, ou permet à une autre personne de le faire encourt aujourd'hui une peine allant de six mois à deux ans de prison. Et si la mère décède au cours de l'intervention, la personne qui a pratiqué l'IVG risque jusqu'à 16 ans d'emprisonnement.

À Quito, des heurts entre des militants pour le droit à l'avortement et la police ont éclaté ce mardi à l'annonce des résultats du vote sur l'assouplissement de la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse. Le Parlement équatorien s'est, en effet, prononcé contre la dépénalisation de l'IVG pour tous les cas de viol, ainsi qu'en cas de malformation du foetus. La législation actuellement en vigueur dans le pays n'autorise l'avortement que lorsque la grossesse résulte du viol d'une femme présentant un handicap mental, ou bien si la vie ou la santé de la mère est en danger. Selon le code pénal, une femme qui provoque un avortement, ou permet à une autre personne de le faire encourt aujourd'hui une peine allant de six mois à deux ans de prison. Et si la mère décède au cours de l'intervention, la personne qui a pratiqué l'IVG risque jusqu'à 16 ans d'emprisonnement.

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