Dans un dernier rapport, l'OMS confirme n'avoir "aucun doute" sur la nocivité des cigarettes électroniques, en particulier pour les cerveaux des adolescents et les fœtus, dont le développement pourrait être altéré.
Si la vapoteuse séduit de nombreux fumeurs et ceux qui ont décidé d'arrêter, elle peine toujours à convaincre les professionnels de santé.
Des risques accrus pour les adolescents et les fœtus
Dans un dernier rapport, l'OMS confirme n'avoir "aucun doute" sur la nocivité des cigarettes électroniques, en particulier pour les cerveaux des adolescents et les fœtus, dont le développement pourrait être altéré.
L'OMS ajoute qu'il est encore trop tôt pour connaître l'impact à long terme de ces appareils sur la santé de leurs utilisateurs et leur entourage, mais elle estime que vapoter accroit les risques de contracter des maladies cardiaques et autres complications.
L'Inde a interdit la cigarette électronique
Des États américains ont ainsi interdit l'utilisation des cigarettes électroniques après une épidémie de maladies pulmonaires qui a fait plusieurs victimes. Des décès toutefois liés à une utilisation détournée, avec des liquides contenant une substance psychoactive que l'on trouve dans le cannabis.
D'autres pays ont pris des mesures pour encadrer la vente et l'usage des vapoteuses. L'Inde a ainsi totalement interdit les e-cigarettes pour des raisons de santé publique et pour lutter contre les addictions.