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Toréador prends garde à toi, il y a un vote sur la tauromachie

A Nice des opposants à la corrida
A Nice des opposants à la corrida Tous droits réservés  AP Photo
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Par Laurence Alexandrowicz
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Pour ou contre la corrida ? afficionados et défenseurs des animaux étaient tous dans la rue, cinq jours avant que l'Assemblée nationale française ne débatte sur l'abolition de la corrida.

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Pour ou contre la corrida ? Aficionados et défenseurs des animaux étaient tous dans la rue, cinq jours avant que l'Assemblée nationale française ne débatte sur l'abolition de la corrida.

Pour les opposants la maltraitance animale est un crime inscrit dans le code pénal, qui, dans certains cas, peut conduire à des peines de cinq ans de prison.

"Il n'y a rien qui justifie la corrida, dit une manifestante anti-corrida à Nice. Ce qui est particulièrement ennuyeux, c'est que la majorité des Français sont contre et malheureusement, les députés ne suivent pas".

 De Dax à Béziers en passant par Auch ou Bayonne, villes de tradition taurine, les partisans de la corrida, ont défendu leur "patrimoine" la "richesse culturelle", et l'économie liée à cette activité.

"Nous voulons vivre notre mode de vie, notre culture, dit un manifestant pro-tauromachie, à Auch, et nous ne voulons pas que notre mode de vie soit dicté par des gens qui ne connaissent pas notre culture".

Les corridas ont connu des hauts et des bas en France : au milieu du 19e siècle, Napoléon III, marié à une Espagnole, autorise les corridas. 30 ans plus tard, en 1884, elles sont interdites, puis à nouveau permises à partir de 1951.

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