L'ancien président a accepté l'investiture de son parti lors de la dernière journée de la convention républicaine.
PUBLICITÉCinq jours seulement après avoir survécu à une tentative d'assassinat, Donald Trump, est officiellement le candidat des républicains.
Devant une foule acquise à sa cause, Il a accepté l'investiture de son parti pour l'élection présidentielle, lors de la dernière journée de la convention républicaine à Milwaukee.
Lors de son discours fleuve, il s'est voulu rassembleur, et a déclaré qu'il se présentait pour toute l'Amérique car, "il n'y a pas de victoire à gagner pour la moitié de l'Amérique."
L'ancien président, âgé de 78 ans, a également expliqué qu'il a survécu à cette tentative d'assassinat , parce "qu'il avait Dieu à ses côtés".
Pour l'heure, il affrontera le démocrate Joe Biden lors de l'élection présidentielle du 5 novembre, à moins que ce dernier ne décide sous la pression de son camp, de finalement céder sa place.
Trump dit qu'Orbán veut qu'il reprenne ses fonctions
M. Trump a cité le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, champion de la « démocratie illibérale » dans son pays. M. Trump a considéré qu'il s'agissait d'une référence de caractère.
M. Orbán, qui a soutenu M. Trump, est le plus proche allié de la Russie au sein de l'Union européenne et est également proche de la Chine. Il s'est également battu contre l'immigration et les droits des personnes LGBTQ+, et son parti a réécrit la constitution du pays pour lui donner le contrôle des médias et du système judiciaire.
« Viktor Orbán, premier ministre hongrois, est un homme très dur », a déclaré M. Trump. Il a ajouté que M. Orbán, un visiteur régulier du complexe de Floride de M. Trump, Mar-a-Lago, dont un la semaine dernière peu après une réunion avec le président russe Vladimir Poutine, avait été interrogé sur les raisons pour lesquelles le monde semblait être en proie au chaos.
M. Trump a cité les propos de M. Orbán : « Il n'y a qu'une seule façon de résoudre le problème. Vous devez faire revenir le président Trump ».
« La Russie avait peur de lui. La Chine avait peur de lui », a déclaré M. Trump en citant le premier ministre hongrois. « Le monde entier était en paix ».