Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Nouveau veto américain à une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU sur Gaza

L'ambassadrice américaine Dorothy Shea s'exprime lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies sur la situation au Moyen-Orient, au siège des Nations unies, dimanche,
L'ambassadrice américaine Dorothy Shea s'exprime lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies sur la situation au Moyen-Orient, au siège des Nations unies, dimanche, Tous droits réservés  Stefan Jeremiah/Copyright 2025, The AP. All rights reserved
Tous droits réservés Stefan Jeremiah/Copyright 2025, The AP. All rights reserved
Par Jeremiah Fisayo-Bambi avec AP
Publié le Mis à jour
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Le vote a eu lieu quelques jours avant le rassemblement annuel des dirigeants mondiaux à l'Assemblée générale des Nations unies, où Gaza sera un sujet majeur et où l'on s'attend à ce que pays reconnaissent un État palestinien.

PUBLICITÉ

C'est non, une fois de plus. Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est de nouveau heurté jeudi au véto américain sur le dossier de Gaza. Washington a bloqué une résolution qui appelait à un cessez-le-feu "immédiat, inconditionnel et permanent" ainsi qu’à la levée des restrictions empêchant l’arrivée de l’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne, pour la sixième fois depuis le début du conflit.

Le texte, qui réclamait également la libération immédiate et sans condition des otages, a recueilli le soutien de 14 des 15 membres du Conseil. Mais selon la représente américaine, il n'allait pas assez loin dans la condamnation du Hamas et ne reconnaissait pas le droit d'Israël à se défendre.

"Cette résolution établit une fausse équivalence dangereuse entre Israël et le Hamas. Il ne peut y avoir d'équivalence entre les deux, un point c'est tout. Dans cette résolution, les otages ne sont qu'un pis-aller. Les États-Unis ne l'accepteront jamais. Le président Trump ne l'acceptera jamais. Il a clairement indiqué que les 48 otages devaient être libérés maintenant" explique-t-elle.

Quelques jours plus tôt, une commission d’enquête internationale indépendante, mais ne parlant pas au nom de l’ONU, avait tout de même franchi un cap en accusant Israël de mener à Gaza un "génocide" visant à "détruire" le peuple palestinien.

Israël subit une pression internationale croissante pour mettre fin au conflit déclenché après l’attaque du Hamas sur son territoire, le 7 octobre 2023. La question sera au centre des débats du sommet annuel de l’ONU, qui se tiendra la semaine prochaine à New York.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Guerre en Ukraine : "Vladimir Poutine m’a laissé tomber", affirme Donald Trump

Guerre à Gaza : Bruxelles dévoile son plan de sanctions à l'encontre d'Israël

Un camion transportant des déplacés touché par une frappe israélienne à Gaza