Les marges du groupe informatique américain ont continué de décliner, malgré la belle performance des nouveaux métiers.
Cela faisait 14 ans qu’IBM n’avait pas publié de résultats aussi catastrophiques : le groupe informatique américain en pleine mutation a vu son bénéfice net fondre de 13% sur un an au premier trimestre à 2 milliards de dollars, pour un chiffre d’affaires en repli de 4,6%. C’est malgré tout moins mauvais que prévu.
IBM attire l’attention sur la forte croissance de l’activité de ses nouveaux métiers, à savoir le cloud, l’analyse de données et la vidéo en ligne. Le groupe va continuer sa politique d’acquisitions dans ces domaines pour assurer sa transformation.