Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Fermeture de plusieurs plages en France après la détection de Physalies

Un Man-O-War portugais mort sur l'île de Chandeleur, au Laos, le lundi 3 mai 2010.
Un Man-O-War portugais mort sur l'île de Chandeleur, au Laos, le lundi 3 mai 2010. Tous droits réservés  AP Photo
Tous droits réservés AP Photo
Par Euronews
Publié le Mis à jour
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Les Physalies, aussi appelées "Galères portugaises", sont des animaux de mer qui ressemblent à des méduses. Plusieurs ont été repérées le long de la côte atlantique.

PUBLICITÉ

De nombreuses plages de la Côte basque ont été fermées aux baigneurs la semaine dernière après la découverte de plusieurs Physalies, aussi appelées "Galères portugaises". Ces animaux marins particulièrement urticants, qui ressemblent à des méduses, ont été repérés le long de la côte atlantique. Les autorités appellent à la plus grande vigilance.

Une physalie près de Chandeleur Sound, en Louisiane, le jeudi 6 mai 2010
Une physalie près de Chandeleur Sound, en Louisiane, le jeudi 6 mai 2010 AP Photo

Dans l'eau, la Physalie est reconnaissable à sa vessie remplie d'air. Son venin peut déclencher des réactions allant de l'irritation de la peau aux vomissements et à la détresse respiratoire. Avec ses tentacules qui peuvent faire 20 mètres de long, les galères portugaises peuvent tuer de petites créatures marines et, dans de rares cas, être mortelles pour l'homme.

"Si on n'est pas là, il faut prendre du sable et se frotter, parce qu'en fait, les filaments collent à la peau et avec le sable, on va pouvoir enlever les filaments. Donc, il faut d'abord enlever les filaments, et après, le mieux, c'est de rincer" conseille Paloma Bernabeu, sauveteuse sur la plage de la Lette Blanche.

Les hôpitaux locaux ont conseillé de ne pas toucher la créature à mains nues et de consulter un médecin en cas de piqûre. Bien que ces animaux se trouvent généralement dans les eaux tropicales ou subtropicales, leur détection dans l'océan Atlantique est de plus en plus fréquente.

Les scientifiques marins ont déclaré que les changements de température des océans, conséquence du réchauffement climatique, pourraient être à l'origine de leur déplacement.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Des algues asiatiques infestent les plages du sud de l'Espagne

France : plus de cigarettes à la plage ou dans les parcs

Pays-Bas : les créatures de plage alimentées par le vent exposées à Delft