Alors que les législateurs débattaient d'un projet de loi soutenu par l'opposition pour déclarer une urgence sociale, les manifestants ont exigé un meilleur accès aux services essentiels comme l'éducation, les soins de santé et la réhabilitation.
Les partisans du projet de loi affirment que les mesures d'austérité actuelles sous la présidence de Javier Milei ont laissé les groupes vulnérables sans soutien.
La législation propose également des paiements ponctuels aux prestataires de services et un accès plus rapide aux fonds publics.
Le président a déjà exprimé son intention de mettre son veto au projet de loi s'il obtient suffisamment d'approbation au Congrès.