Le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif, suivi de la représentante de l’Union Européenne Catherine Ashton ont lancé ce mardi, à Vienne, le premier jour des négociations marathon dans l’espoir de trouver un accord sur le programme nucléaire de Téhéran.
Même si des obstacles importants demeurent, les chancelleries occidentales estiment que le contexte international permet aujourd’hui d’espérer des compromis et un début d’accord.
Depuis 2002, les grandes puissances soupçonnent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire, ce que dément Téhéran.
Les négociations vont se poursuivre cette semaine, jusqu‘à la date-butoir du 24 novembre, et en présence de la Chine, les Etats Unis, la France, le Royaume Uni, la Russie et l’Allemagne.
Les négociateurs vont se pencher notamment sur les capacités d’enrichissement d’uranium de l’Iran et le rythme de la levée des sanctions en cas d’accord.