Daesh, PKK, autre... ? Les interrogations des enquêteurs sur l'attentat d'Ankara

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Par Euronews
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En Turquie, les premières sanctions sont tombées 4 jours après l’attentat d’Ankara : trois responsables de la police de la capitale ont été limogés

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En Turquie, les premières sanctions sont tombées 4 jours après l’attentat d’Ankara : trois responsables de la police de la capitale ont été limogés.

Mais cela ne répond pas à la question : qui a commandité la double explosion de samedi ? Les autorités turques ont fait du groupe Etat islamique, le suspect numéro 1. Mais elles n‘écartent pas la piste du mouvement kurde PKK, comme l’a expliqué le chef du gouvernement Ahmet Davutoğlu.

“Nous allons continuer nos opérations contre le groupe Etat islamique, a-t-il expliqué. Vis-à-vis du PKK, nous allons aussi poursuivre nos opérations, car nous disposons d’informations émanant des servives secrets, qui indiquent que le PKK et certains militants du groupe d’extrême-gauche DHKP-C ont suivi dans le nord de l’Irak un entraînement en vue de commettre des attentats-suicide. Ces personnes ont été envoyées en Turquie. C’est pourquoi nous suivons ces deux pistes.”

L’attentat a fait au moins 97 morts. 38 personnes sont toujours hospitalisées.
Cette attaque est la plus meurtrière jamais commise sur le sol turc.

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