Le stade Elliniko est bien connu des habitants d’Athènes. Il a accueilli plusieurs épreuves lors des Jeux Olympiques de 2004. Aujourd’hui abandonné
Le stade Elliniko est bien connu des habitants d’Athènes. Il a accueilli plusieurs épreuves lors des Jeux Olympiques de 2004.
Aujourd’hui abandonné, la flamme olympique a été remplacée par des feux de palettes, pour réchauffer les corps et les coeurs : le stade a été transformé en un vaste camps de réfugiés.
euronews</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/AidZone?src=hash">#AidZone</a> is in <a href="https://twitter.com/hashtag/greece?src=hash">#greece</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/elliniko?src=hash">#elliniko</a> temporary camps <a href="https://t.co/Gjh1bCkG63">pic.twitter.com/Gjh1bCkG63</a></p>— Monica Pinna (_MonicaPinna) 11 mai 2016
Depuis février, plus de 1500 personnes s’entassent ici, avec seulement une dizaine de douches et de robinets. Ici, pas d‘école, seulement quelques associations qui essayent de trouver des activités pour les enfants.
Les ONG gèrent ici, notamment, un espace psychologique, pour aider les enfants en danger face à certains traumatismes. Mais le problème, c’est que les moyens manquent.
Sacha Myers, de l’ONG Save the Children: “Ils vivent dans de très mauvaises conditions, souvent les uns avec les autres, les familles vivent les unes au-dessus des autres. Ils vivent dans des tentes ou sur le sol, il y a très peu d’intimité. Les enfants tombent malades à cause des conditions de vie et des conditions d’hygiène.”
Refugee Crisis field evaluation in Greece, Turkey, Jordan and Lebanon – Here
Elliniko III Refugee Camp in Athens <a href="https://t.co/gX0Mkt3gRW">pic.twitter.com/gX0Mkt3gRW</a></p>— PhilanthropyAdvisors (PhilanthropyAdv) 2 mai 2016
Une trentaine de sites en Grèce accueillent en ce moment, près de 50 000 migrants, selon le gouvernement grec et le HCR.Tous les centres d’accueil sont débordés. Cette année plus de 150 000 migrants sont arrivés en Grèce par la mer.
Réfugiés en #Grèce=voyageurs immobiles campant ds des hôtels désaffectés, ex aéroport, ports, comme ici à Elliniko pic.twitter.com/e6yuK9NU6j
— Sophie Makris (@samakris) 1 mai 2016
