Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Le GIGN mobilisé pour la sécurité du Tour de France

Le GIGN mobilisé pour la sécurité du Tour de France
Tous droits réservés 
Par Euronews
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Conséquence directe des attentats de Paris et de la menace terroriste qui reste toujours très élevée, la 103e édition du tour de France n‘échappera pas à une sécurité…

PUBLICITÉ

Conséquence directe des attentats de Paris et de la menace terroriste qui reste toujours très élevée, la 103e édition du tour de France n‘échappera pas à une sécurité renforcée.

#TourdeFrance 2016: 23.000 policiers & gendarmes mobilisés + le GIGN. À lire sur franceinfo</a> <a href="https://t.co/tzimihOGtI">https://t.co/tzimihOGtI</a> <a href="https://t.co/ralPeBj9uL">pic.twitter.com/ralPeBj9uL</a></p>&mdash; Visactu (visactu) 24 mai 2016

A 40 jours du départ, prévu le 2 juillet au Mont Saint-Michel, le ministe de l’Intérieur a présenté ce mardi l’important dispositif qui sera déployé autour de la Grande boucle longue cette année de 3519 km.

Au total près de 23 000 policiers et gendarmes seront mobilisés durant toute la compétition. Et, pour la première fois, Bernard Cazeneuve a demandé le renfort du GIGN, l’unité d‘élite de la gendarmeire nationale, qui devra se tenir prêt “à tout moment” pour intervenir.

Alors que l’Etat d’urgence a été prolongé jusqu’au 26 juillet, les super gendarmes du GIGN ne vont pas chômer une partie de l‘été.
Ils seront en première ligne dès le10 juin pour le premier match de l’euro 2016 avant d’enchaîner sur le Tour de France jusqu’au 24 juillet.

Avec AFP et Reuters

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Vote de confiance, appel au blocage : la France entre dans une semaine mouvementée

Deux journalistes accusés de connivence avec le PS contre Rachida Dati

Attaque au couteau à Marseille : la radicalisation islamiste écartée