Trump affirme avoir été sarcastique quand il qualifiait Obama de "fondateur" de l'EI

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Par Euronews avec AFP
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C’est un Donald Trump à la recherche d’un second souffle qui est apparu à la tribune d’un meeting en Pennsylvanie.

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C’est un Donald Trump à la recherche d’un second souffle qui est apparu à la tribune d’un meeting en Pennsylvanie.
Dernière polémique en date créée par le candidat républicain, mercredi il accusait Barack Obama d‘être le “fondateur” de l’Etat islamique.
Face au tollé soulevé par ses propos y compris dans son propre camp, le candidat à la Maison-Blanche a tenté de se justifier. “Je veux dire que Barack Obama l’a laissé exister. L’Etat islamique était présent dans huit pays, maintenant dans 28. Il se développe. Donc j’ai dit, le fondateur de l’Etat islamique, évidemment j‘étais sarcastique.”, a-t-il expliqué.

Ratings challenged CNN</a> reports so seriously that I call President Obama (and Clinton) "the founder" of ISIS, & MVP. THEY DON&#39;T GET SARCASM?</p>&mdash; Donald J. Trump (realDonaldTrump) 12 août 2016

Autre épine dans le pied du milliardaire, la polémique sur sa déclaration d’impôt. Alors que Hillary Clinton vient de la publier, il refuse toujours d’en faire autant, bien que ce soit une tradition vieille de plusieurs dizaines d’années. Les démocrates sous-entendent qu’il pourrait payer peu ou pas d’impôt, et gagner moins que ce qu’il affirme.
Explication de Trump: le contrôle fiscal dont il est la cible depuis 15 ans ne lui permettrait pas de dévoiler sa déclaration.
Les mauvais chiffres de M. Trump dans les sondages font paniquer une partie du camp républicain, mais le chef du parti, Reince Priebus, a soutenu une nouvelle fois son candidat. Car côté sondages, les choses se corsent. Alors que fin juillet il était au coude-à-coude avec l’ancienne sécrétaire d’Etat, sa cote est en train de dégringoler. En moyenne, les études d’opinion lui donnent sept points de retard sur sa concurrente.

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