Mère Teresa canonisée par le pape François

Mère Teresa canonisée par le pape François
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Les yeux des catholiques du monde entier sont rivés sur le portrait de Mère Teresa dressé sur la basilique Saint Pierre du Vatican, où la religieuse superstar sera canonisée ce dimanche dix-neuf ans a

PUBLICITÉ

Les yeux des catholiques du monde entier sont rivés sur le portrait de Mère Teresa dressé sur la basilique Saint Pierre du Vatican, où la religieuse superstar sera canonisée ce dimanche dix-neuf ans après sa mort. Sur la place Saint Pierre les fidèles sont réunis depuis les premières heures du jour. Cent mille personnes sont attendues ainsi qu’une quinzaine de délégations gouvernementales.

Hier des milliers de catholiques ont assisté au discours du pape François, qui voit dans Mère Teresa une incarnation de son idéal d’une “Église pauvre pour les pauvres”. Le primat argentin a relancé le dossier de canonisation, ralenti sous Benoît XVI.

Née en 1910 dans l’actuelle Macédoine, elle consacre à 18 ans sa vie à Dieu. Fondatrice en 1950 des “missionnaires de la Charité” dans les bidonvilles de Calcutta, sa dévotion pour la souffrance des plus modestes lui vaut de devenir une icône mondiale. Elle reçoit le prix Nobel de la paix en 1979.

Adorée par les uns, cette opposante à l’avortement, à la contraception et au divorce est aussi critiquée. Dans les pensionnaires, des docteurs décrivent les soins rudimentaires. Cela tient, dit-on, à “la conception de la souffrance de Mère Teresa” plus qu’au manque de moyens.

L’“infatigable bienfaitrice de l’humanité”, selon les mots de Jean Paul II sera officiellement reconnue sainte ce dimanche.

“Avec AFP

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Le pape opéré ce mercredi pour un risque d'occlusion intestinale (Vatican)

Pédocriminalité dans le clergé catholique : l'Italie face à la loi du silence

L'homosexualité est un péché, "pas un crime" selon le Pape François