L'opposition réclame depuis des mois l'organisation d'un référendum, prévu par la Constitution, pour destituer le président Maduro.
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Au Venezuela, la grève générale décrétée par l’opposition n’a été que partiellement suivie vendredi. L’opposition misait sur cette grève dans sa lutte pour chasser du pouvoir Nicolas Maduro, le président vénézuélien.
Venezuela : Nicolas Maduro face à la grève générale https://t.co/hkHnQjojUE
— Le Monde (@lemondefr) 28 octobre 2016
Mais le gouvernement a menacé d’employer la force pour briser les grèves.
Face à une crise économique et sociale sans précédent, Nicolas Maduro a aussi annoncé jeudi une hausse de 40% du salaire minimum, histoire de calmer un peu la grogne populaire.
Mais cette hause reste dérisoire alors que l’inflation galopante devrait dépasser les 470% cette année.
La confrontation entre partisans et opposants au gouvernement pourrait virer à l’affrontement la semaine prochaine.
Les partisans de Maduro ont occupé la place du Parlement, là même où l’opposition compte manifester jeudi prochain.
L’opposition réclame depuis des mois l’organisation d’un référendum prévu par la Constitution. pour destituer le président vénézuélien.
Pour sortir de l’impasse plusieurs médiations ont été organisées. En vain, jusqu‘à présent.
Avec Agences