En dévoilant le millier de logiciels malveillants mis au point par le renseignement américain pour prendre le contrôle de smartphones et autres objets connectés, WikiLeaks permettrait aux terroristes
En dévoilant le millier de logiciels malveillants mis au point par le renseignement américain pour prendre le contrôle de smartphones et autres objets connectés, WikiLeaks permettrait aux terroristes de prendre une longueur d’avance.
Inacceptable pour la Maison Blanche. Son porte-parole, Sean Spicer, a rappelé hier que “toute personne susceptible d’avoir transmis des informations secrètes [serait] traduites en justice. (…) Cela met en péril notre sécurité intérieure et ce n’est pas quelque chose que nous prenons à la légère dans cette administration, conclut-il.”
I love WikiLeaks disait Donald Trump au moment des fuites de la campagne. Romance terminée avec le piratage CIA. https://t.co/HNqlJhTW32
— Frédéric Carbonne (@FCarbonne) 9 mars 2017
La justice allemande a, elle, ouvert une enquête sur le consulat américain de Francfort qui aurait servi de base logistique aux opérations de piratages de la CIA en Europe.
#WIKILEAKS : le consulat US à Francfort: base d’espionnage américaine #CyberSecurity#CyberDefense#CIA#NSAhttps://t.co/fz3Ylh15gvpic.twitter.com/SApTIkslhq
— Matthieu de Bézenac (@MdeBezenac) 8 mars 2017
La plupart des géants de l‘électronique ont tenu à rassurer leurs clients. Apple, Microsoft, ou encore Facebook affirment travailler au colmatage des brèches de sécurité.