L’“épidémie de choléra”:
http://abonnes.lemonde.fr/international/article/2017/07/10/le-cholera-continue-a-progresser-au-yemen_5158560_3210.html?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#link_time=1499696256 continue de progresser au Yémen. Au cours des deux derniers mois, près de 300 000 personnes auraient été touchées par la maladie, et plus de 1700 en seraient décédées selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
#Yemen‘s cholera epidemic continues to spiral out of control. Today, over 300,000 people are suspected to be ill. More than 1,600 have died. pic.twitter.com/YFiaNyujlk
— ICRC (@ICRC) 10 juillet 2017
C’est la deuxième fois en l’espace d’un an que cette pathologie prend l’allure d’une épidémie, touchant plus d’une vingtaine de provinces, d’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Elle frappe une population déjà “exsangue”:
http://www.francesoir.fr/politique-monde/cholera-la-maladie-continue-de-se-propager-dans-un-yemen-en-guerre-plus-de-300000-cas-infection-1600-morts-conflit-houthis-arabie-saoudite-gouvernement-famine , avec plus de 7000 malades supplémentaires chaque jour, et près de 17 millions de Yéménites qui souffrent d’une malnutrition sévère.
#Yémen : désormais plus de 300.000 cas suspects de choléra et 1.600 morts (CICR). Rappel sur ce drame. https://t.co/FPs4bnqw0Zpic.twitter.com/SOSU0r3iJK
— Rédac France Culture (@FC_actu) 10 juillet 2017
L’accès aux soins est presque inexistant dans le pays, déchiré par la guerre depuis près de deux ans. “L’effondrement des infrastructures”:
https://www.franceculture.fr/geopolitique/pourquoi-le-cholera-est-de-retour-au-yemen a facilité l‘émergence de problèmes sanitaires d’ampleur, en raison du conflit qui oppose les forces progouvernementales, appuyées par la coalition emmenée par l’Arabie Saoudite, et les milices chiites houties, soutenues par l’Iran.
Au #Yémen, les hôpitaux n’arrivent plus à prendre en charge les enfants malades.
Lisez ce témoignageUNICEF_Yemen</a> ! <a href="https://t.co/jDTh0q3xCA">https://t.co/jDTh0q3xCA</a></p>— UNICEF France (
UNICEF_france) 10 juillet 2017