Dix-sept morts dans une salle des fêtes à Caracas

Dix-sept morts dans une salle des fêtes à Caracas
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Dix-sept personnes, dont huit mineurs, sont mortes samedi à l'aube dans une salle des fêtes de Caracas après qu'une bagarre a éclaté et qu'une personne a lancé une grenade lacrymogène qui a provoqué une bousculade, a annoncé le ministre vénézuélien de l'Intérieur et de la Justice, Nestor Reverol. "Une bagarre a éclaté aux premières heures du matin, et une des personnes impliquées a lancé une bombe lacrymogène qui a entraîné un mouvement de foule parmi les 500 personnes qui se trouvaient dans le club (...), entraînant la mort de 17 d'entre elles", a déclaré à la télévision M. Reverol. Les victimes sont mortes par asphyxie et à cause de traumatismes multiples, ont précisé les autorités. Le drame s'est produit lors d'une fête organisée pour célébrer la remise de diplômes de jeunes lycéens dans la paroisse civile d'El Paraiso. Le ministre a annoncé que sept personnes avaient été arrêtées dans la foulée, dont deux mineurs, l'un d'eux étant celui qui aurait lancé la grenade lacrymogène. Le responsable de l'établissement a également été arrêté pour ne pas avoir respecté "les mesures qui doivent être mises en place (...) pour éviter l'entrée d'armes à feu et de munitions" dans les lieux publics, a encore indiqué M. Reverol.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Les rebelles houthis mènent de nouvelles attaques

Slovaquie : l'indépendance de l'audiovisuel public menacée par une nouvelle réforme

L’info du jour | 26 avril - Mi-journée