Moscou accuse un groupe de djihadistes et affirme avoir détruit ses position lors de frappes aériennes
Une nouvelle attaque à l'arme chimique s'est produite samedi soir à Alep au nord-ouest de la Syrie.
Au moins 46 civils, dont huit enfants, ont dû être hospitalisés pour des difficultés respiratoires.
Le ministre russe de la Défense a aussitôt accusé les djihadistes du groupe Hayat Tahrir al-Sham d'avoir visé des quartiers d'Alep à l'aide d'explosifs "contenant apparemment du chlore".
L'armée russe a aussitôt répliqué en lançant une série de frappes aériennes.
Depuis le début du conflit syrien, les occidentaux ont accusé à plusieurs reprises le régime de Bachar el-Assad d'avoir fait usage d'armes chimiques contre la population civile. Des accusations toujours réfutées par Damas et Moscou.
Avec Agences