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Trump a voulu mettre un de ses soutiens à la tête d'une enquête le visant (presse)

Trump a voulu mettre un de ses soutiens à la tête d'une enquête le visant (presse)
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Par AFP
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Donald Trump a demandé qu'un procureur de New York, considéré comme un de ses soutiens, soit chargé d'une enquête le visant, rapporte mardi le New York Times, précisant que le président n'était pas parvenu à ses fins.

Répondant à des questions de journalistes mardi, le président américain a réfuté ces affirmations, qu'il a qualifié de "fausses informations" ("fake news").

Il s'agit de l'enquête sur les versements effectués par son ancien avocat, Michael Cohen, à deux femmes, Stormy Daniels et Karen McDougal, pour acheter leur silence sur une liaison supposée avec Donald Trump.

Inquiet de voir le dossier le menacer d'un peu trop près, l'ancien promoteur immobilier aurait demandé au ministre de la Justice par intérim, Matthew Whitaker, d'intervenir.

Il souhaitait ainsi que le procureur fédéral de Manhattan Geoffrey Berman, considéré comme un soutien de Donald Trump, reprenne l'enquête en main.

M. Berman s'étant récusé de l'enquête pour éviter tout soupçon de conflit d'intérêts. Il avait, jusqu'ici, confié le dossier à l'un des procureurs de son équipe, Robert Khuzami.

Rien n'indique, selon le New York Times, que le ministre par intérim ait fait quoi que ce soit, par la suite, pour suivre les ordres du président. M. Berman n'est pas intervenu dans l'enquête.

Dans une déclaration transmise à l'AFP, un porte-parole du ministère de la Justice a indiqué que M. Whitaker maintenait ses déclarations faites devant la Commission des affaires judiciaires de la Chambre des représentants.

Lors de son audition au début du mois, il avait affirmé que la Maison Blanche ne lui avait jamais fait de demande concernant l'enquête du procureur spécial Robert Mueller ou d'autres enquêtes, et assuré qu'il ne s'était engagé à rien concernant ces dossiers.

Matthew Whitaker a été remplacé jeudi par Bill Barr, après sa confirmation par le Sénat.

Dans le dossier évoqué par le New York Times, Michael Cohen a été condamné en décembre à 3 ans d'emprisonnement, notamment pour infraction à la législation sur le financement des campagnes électorales.

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