Le virus, qui a tué 5 000 personnes dans le pays, continue de se propager rapidement et le gouvernement britannique, critiqué pour avoir réagi trop tard au début de l'épidémie, essaie maintenant de durcir les conditions du confinement.
Boris Johnson continue de présenter des symptômes persistants du coronavirus et a été hospitalisé par mesure de précaution, selon ses services. Mais le Premier ministre britannique, testé positif à la maladie il y a dix jours, reste aux commandes du pays.
La reine Elizabeth II s'est adressé à ses sujets ce dimanche, signe historique de la gravité de l'épidémie au Royaume-Uni.
"Bien que nous ayons déjà fait face à des défis, celui-ci est différent, a t-elle dit. Cette fois, nous nous joignons à toutes les nations du monde dans un effort commun, en utilisant les grandes avancées de la science et notre compassion instinctive pour guérir. Nous réussirons - et ce succès appartiendra à chacun de nous."
Le virus, qui a tué 5 000 personnes dans le pays, continue de se propager rapidement et le gouvernement britannique, critiqué pour avoir réagi trop tard au début de l'épidémie, essaie maintenant de durcir les conditions du confinement. Le ministre de la Santé a menacé d'interdire toute forme d'exercice physique en extérieur.
En plein débat sur le respect du confinement, la cheffe des services sanitaires écossais, Catherine Calderwood, a démissionné ce dimanche après avoir reconnu s'être rendue à deux reprises dans sa résidence secondaire.