L'ONU condamne l'usage "disproportionné" de la force à l'encontre des manifestants qui protestent contre le coup d'Etat du 1er février et réclament la fin de la dictature.
Les Nations Unies dénoncent l'usage "disproportionné" de la force contre les manifestants en Birmanie qui protestent contre le coup d'Etat du 1er février.
L'ONU évoque "de nombreux protestataires blessés, dont certains gravement", après que la police a tiré des balles en caoutchouc et fait usage de canons eaux et de gaz lacrymogènes.
Sur la scène internationale, la Nouvelle-Zélande réagit et coupe les ponts avec la junte militaire au pouvoir à Rangoon.
Jacinda Ardern, première ministre néo-zélandaise : "Nous ferons ce que nous pouvons d'ici en Nouvelle-Zélande, et d'abord, nous pouvons suspendre le dialogue de haut niveau au niveau politique. Nous pouvons mettre en place des interdictions de voyage et nous assurer que l'aide que nous apportons à la Birmanie ne soutient en aucune façon le régime militaire."
Le putsch du 1er février a mis fin à une brève parenthèse démocratique en Birmanie et depuis la dirigeante Aung San Suu Kyi est assignée à résidence.