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La Russie promet une "réduction radicale" de son activité militaire en Ukraine

Le président turc Recep Tayyip Erdoğan en présence des délégations ukrainienne et russe lors des pourparlers organisés à Istanbul le 29 mars 2022
Le président turc Recep Tayyip Erdoğan en présence des délégations ukrainienne et russe lors des pourparlers organisés à Istanbul le 29 mars 2022 Tous droits réservés  AP via présidence turque
Tous droits réservés AP via présidence turque
Par Euronews
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Point sur le terrain, réactions internationales, sanctions économiques, retrouvez le déroulé de la 34e journée de la guerre en Ukraine.

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A l'issue de trois heures de discussions organisées ce mardi à Istanbul entre les délégations russe et ukrainienne, le ministre turc des Affaire étrangères Mevlüt Cavusoglu a salué les "progrès les plus significatifs" depuis le début de la guerre, le 24 février dernier .

Dans les faits, la Russie a promis de "radicalement" réduire son activité militaire en direction de Kyiv et Tcherniguiv, à environ 120 km au nord-est de la capitale. L'Ukraine, elle, acceptera un statut de neutralité si elle obtient un "accord international" garantissant sa sécurité.

En outre, le négociateur ukrainien en chef, David Arakhamia, a aussi estimé qu'après ces pourparlers, les conditions étaient "suffisantes" pour une rencontre au sommet entre les présidents russe Vladimir Poutine et ukrainien Volodymyr Zelensky.

Suivez notre direct consacré à ce 34e jour de guerre en Ukraine.

Live terminé

Le point sur la situation à 20h30 :

- Discussions "substantielles" ouvrant la voie à une rencontre Zelensky-Poutine

Les conditions pour une première rencontre entre le président ukrainien et son homologue russe depuis le début de l'invasion russe sont désormais possibles, ont indiqué Kiev et Moscou après plusieurs heures de pourparlers russo-ukrainiens mardi à Istanbul.


"Les négociations sur un accord sur la neutralité et le statut non nucléaire de l'Ukraine entrant dans une dimension pratique (...), il a été décidé, pour accroître la confiance, de réduire radicalement l'activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv", a déclaré le vice-ministre russe de la Défense. 


"Après la discussion substantielle d'aujourd'hui, nous nous sommes entendus et proposons que la rencontre se fasse pour parapher l'accord", a-t-il dit. 


L'Ukraine acceptera d'être neutre si elle obtient un "accord international" pour garantir sa sécurité, dont seraient signataires plusieurs pays agissant en tant que garants, selon le négociateur en chef ukrainien.


- Washington, Paris, Londres, Berlin et Rome circonspects

Les dirigeants américain, français, britannique, allemand et italien se sont montrés circonspects après l'annonce de ces avancées dans les discussions russo-ukrainiennes.


Joe Biden, Emmanuel Macron, Boris Johnson, Olaf Scholz et Mario Draghi ont mis en garde, lors d'une conversation téléphonique, contre tout "relâchement de la détermination occidentale tant que l'horreur infligée à l'Ukraine ne serait pas terminée", selon Downing Street.


Ils se sont dits d'accord pour "continuer d'accroître le coût payé par la Russie", selon la Maison-Blanche.


Les Bourses européennes ont elles renoué avec l'optimisme en terminant en forte hausse.


- Marioupol : les "nationalistes" ukrainiens doivent "déposer les armes" (Poutine)

Vladimir Poutine a exigé mardi que les "nationalistes" ukrainiens à Marioupol "déposent les armes" afin qu'on puisse "trouver une solution à la situation humanitaire" dans ce port stratégique, selon un communiqué du Kremlin publié après un échange avec le président français Emmanuel Macron.


Ce dernier a de son côté estimé que les conditions pour lancer dans les prochains jours une opération humanitaire au secours des habitants de cette ville assiégée n'étaient "pas réunies à ce stade".


- Mykolaïv : au moins neuf morts

Neuf personnes ont été tuées et au moins 28 autres blessées mardi dans une frappe russe ayant partiellement détruit le bâtiment de l'administration régionale de Mykolaïv, dans le sud de l'Ukraine, selon un nouveau bilan donné par le parquet général ukrainien.


Volodymyr Zelensky a par ailleurs qualifié les attaques russes contre Marioupol de "crime contre l'humanité, qui se déroule en direct sous les yeux de la planète." En visioconférence devant le Parlement danois, il a accusé Moscou de bombarder volontairement les abris des civils dans cette ville assiégée.


Les forces russes ont par ailleurs bombardé l'aérodrome militaire de Starokostiantyniv (ouest), détruisant tous les stocks de carburant de cette ville, a annoncé son maire. 


- Decathlon suspend ses activités en Russie

L'entreprise française spécialisée dans les articles de sport Decathlon a annoncé la suspension de ses activités en Russie en raison de problèmes d'approvisionnement.


Decathlon, présent en Russie depuis 2006 avec 60 magasins, est l'une des trois enseignes de l'association familiale Mulliez à être active dans ce pays, avec Auchan et Leroy-Merlin, qui y poursuivent pour leur part leur activité. 


Par ailleurs, le cimentier suisse Holcim va se retirer du marché russe après avoir déjà suspendu ses investissements. Il y emploie plus de mille personnes et dispose de trois sites spécialisés dans la production de ciment.


- Un yacht saisi à Londres

Un yacht de luxe avec piscine et cave à vin appartenant à un ressortissant russe a été saisi à Londres dans le cadre des représailles à l'invasion russe en Ukraine. 


Le "Phi" est le troisième plus grand yacht construit par les chantiers navals néerlandais Royal Huisman, avec 58 mètres de long, d'une valeur de 38 millions de livres sterling (45 millions d'euros).


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Le président des Etats-Unis Joe Biden a déclaré ce mardi que les Occidentaux attendaient de voir si la Russie "tenait parole" sur la réduction de son activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv, en Ukraine.


[Pour la déclaration mise en exergue, se rendre à 11:06 de la vidéo ci-dessus]


"On verra s'ils tiennent parole", a ainsi indiqué le locataire de la Maison-Blanche, peu après s'être entretenu avec les dirigeants français, britannique, allemand et italien. "Il semble y avoir un consensus sur le fait qu'il faut voir ce qu'ils ont à offrir" a ajouté Joe Biden lors d'une conférence de presse conjointe avec Lee Hsien Loong le Premier ministre de Singapour.



  


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Les dirigeants britannique, américain, français, allemand et italien ont mis en garde ce mardi, lors d'une conversation téléphonique, contre tout "relâchement de la détermination occidentale" face à l'invasion russe de l'Ukraine, selon Downing Street.



Boris Johnson, Joe Biden, Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Mario Draghi "sont convenus qu'il ne pouvait y avoir aucun relâchement de la détermination occidentale tant que l'horreur infligée à l'Ukraine ne serait pas terminée", a indiqué un porte-parole du Premier ministre britannique dans un communiqué.


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Les forces russes ont bombardé ce mardi l'aérodrome militaire de Starokostiantyniv, dans l'ouest de l'Ukraine, détruisant complètement tous les stocks de carburant de cette ville, a annoncé son maire Mykola Melnytchouk. 



"Nous sommes arrosés de missiles depuis le premier jour de la guerre, mais aujourd'hui (...) l'attaque a été très sérieuse et a causé des dommages significatifs", a écrit sur Facebook ce responsable local, soulignant toutefois que ce nouveau bombardement n'avait pas fait de victimes.


"Les occupants (russes) ont complètement détruit tous les stocks de carburant et de lubrifiants disponibles dans la ville", située dans la région de Khmelnytskyï, a-t-il ajouté.


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En France, sur le port de Marseille, le ferry "Méditerranée" de la Corsica Linea, qui reliait habituellement la ville au Maghreb, a été transformé en hôtel flottant afin d'accueillir jusqu'à 1 600 réfugiés ukrainiens.


Loué par l'Etat français à la compagnie maritime Corsica Linea, pour un montant non dévoilé, le bateau  a reçu ce mardi après-midi ses premiers réfugiés ukrainiens, après une visite des lieux par les médias.


Salle de cinéma, salle de jeu pour les enfants, crèche : le navire, dont les panneaux d'orientation ont été traduits pour l'occasion, dispose de 500 cabines pouvant accueillir jusqu'à 1 600 personnes pendant deux mois avant de reprendre ses rotations habituelles. 



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Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) se heurte à des accusations visant ses efforts pour faciliter les évacuations de villes assiégées.


Une des accusations contre le CICR circulant sur les réseaux sociaux assure qu'il a aidé des évacuations forcées vers la Russie d'Ukrainiens depuis la ville assiégée de Marioupol.


Le CICR "ne soutiendrait jamais une quelconque opération qui irait à l'encontre de la volonté des gens et de nos principes", a insisté un porte-parole de l'organisation.


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Le nombre de réfugiés ayant fui l'Ukraine depuis l'invasion ordonnée par Vladimir Poutine se rapproche de la barre symbolique des 4 millions qui pourrait être franchie dans les tout prochains jours, selon l'ONU, estimant à presque 6,5 millions le nombre de déplacés à l'intérieur du pays.


Famille ukrainienne ayant franchi la frontière polonaise à Medyka, le 29 mars 2022. Crédit : AP Photo/Sergei Grits

Avec 3 901 713 réfugiés ukrainiens, principalement des femmes et des enfants, l'Europe n'a pas connu de tels flots de réfugiés depuis la Deuxième Guerre mondiale.


La Pologne a, elle , indiqué ce mardi que plus de 2,3 millions d'Ukrainiens ont franchi la frontière entre les deux pays depuis le 24 février, premier jour de l'invasion russe. 


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Le président ukrainien a indiqué qu'au moins sept personnes ont été tuées ce mardi et 22 autres blessées lors d'une frappe russe ayant partiellement détruit le bâtiment de l'administration régionale de Mykolaïv, ville proche d'Odessa.


Le bâtiment de l’administration régional de l'oblast de Mykolaïv dans la ville du même nom, éventré par une frappe le 29 mars 2022. Crédit : AP Photo/Petros Giannakouris

Volodymyr Zelensky a par ailleurs qualifié les attaques russes contre Marioupol de "crime contre l'humanité, qui se déroule en direct sous les yeux de la planète." En visioconférence devant le Parlement danois, il a accusé Moscou de bombarder volontairement les abris des civils dans cette ville assiégée.


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En France, l'Elysée vient d'indiquer qu'un entretien téléphonique était "en cours" entre le président Emmanuel Macron et son homologue russe, Vladimir Poutine.


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Le Royaume-Uni vient également de réagir. Le gouvernement britannique a averti ce mardi la Russie qu'il la jugerait "sur ses actes, pas ses paroles" après l'annonce par Moscou d'une réduction "radicale" de ses activités militaires en direction de Kiev et Tcherniguiv, dans le nord-est de l'Ukraine.


"Nous jugerons Poutine et son régime sur ses actes, pas ses paroles", a déclaré un porte-parole du Premier ministre Boris Johnson aux journalistes.


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Alors que la Maison-Blanche a fait état d'entretiens ce mardi entre le président Biden et des dirigeants européens, une première réactions officielles venant des Etats-Unis. Antony Blinken, le secrétaire d'Etat, a ainsi affirmé que Washington doute encore du "réel sérieux" de la Russie dans les discussions dans les négociations avec l'Ukraine, après l'annonce d'avancées dans les discussions entre Kiev et Moscou à Istanbul.


"Je n'ai rien vu qui puisse suggérer qu'il y a un véritable mouvement parce que nous n'avons pas vu de signes de réel sérieux de la part de la Russie", a déclaré Antony Blinken, en visite au Maroc, lors d'une conférence de presse. 



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Plusieurs pays européens ont annoncé ce mardi l'expulsion de diplomates russes. 



L'Irlande a ainsi indiqué expulser quatre diplomates russes au motif que leurs activités "ne correspondent pas aux standards internationaux du comportement diplomatique".


Les Pays-Bas vont, eux, expulser 17 officiers de renseignement russes qui s'adonnaient "secrètement" à des activités d'espionnage, a annoncé mardi le ministère des Affaires étrangères néerlandais, Wopke Hoekstra. 


Enfin, la Belgique "a décidé d'expulser" 21 diplomates russes soupçonnés d'espionnage, a annoncé Sophie Wilmès la ministre belge des Affaires étrangères. 


La Russie a, elle, annoncé ce 29 mars l'expulsion de dix diplomates des pays baltes, en représailles à une mesure similaire contre des représentants de Moscou dans le contexte des tensions autour de l'Ukraine. Les accréditations de quatre diplomates de l'ambassade de Lituanie, trois de celle de Lettonie et trois des missions estoniennes ont été retirées, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. Cette mesure a été prise "selon le principe de réciprocité" après l'expulsion "injustifiée" de 10 diplomates russes annoncée le 18 mars par ces trois pays membres de l'Union européenne et de l'Otan, a ajouté le ministère.


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Après l'annonce des "discussions substantielles" entre les délégations russe et ukrainienne au palais de Dolmabahçe à Istanbul, les marchés financiers ont aussitôt réagi favorablement : les entreprises les plus exposées à la Russie ont bondi à la Bourse de Paris, de même que l'euro et le rouble, tandis que les deux références du pétrole perdaient plus de 5%.


Le rouble bondissait de 10% mardi et retrouvait son niveau de fin février, aux premiers jours de l'invasion de l'Ukraine, des avancées notables dans les négociations entre Kiev et Moscou profitant également aux autres monnaies européennes.


Le rouble bondissait de 10,2% à 85,64 roubles pour un dollar, un niveau plus vu depuis le 25 février, quand les sanctions contre la Russie avaient été durcies au lendemain de l'invasion de l'Ukraine.


La monnaie unique européenne, en berne depuis plusieurs semaines alors que le conflit pèse sur les perspectives économiques du Vieux Continent, prenait 1,2% à 1,1116 dollar vers 13h15 GMT (15h15 à Bruxelles).


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Selon le chef de la délégation russe et représentant du Kremlin, Vladimir Medinski, une rencontre des dirigeants ukrainien Volodymyr Zelensky et russe Vladimir Poutine, et de représentants d'Etats garants, serait possible en cas d'accord pour mettre fin aux hostilités. 


"En ce qui concerne une rencontre des deux présidents, nous avons dit depuis le début qu'elle sera possible lorsqu'il y aura un accord (...) La rencontre pourrait être multilatérale, avec la participation d'Etats garants", a-t-il dit.


"Après la discussion substantielle d'aujourd'hui, nous nous sommes entendus et proposons que la rencontre se fasse pour parapher l'accord", a-t-il dit. 


"A condition d'(effectuer) un travail rapide sur l'accord, et de trouver les compromis nécessaires, la possibilité de conclure la paix se rapprochera", a dit M. Medinski.


Dans une deuxième déclaration à la télévision russe, il a détaillé les propositions présentées plus tôt par Kyiv, qui s'engagerait à une neutralité sous réserve d'avoir des puissances étrangères garantissant sa sécurité. 


Selon le négociateur russe, Kyiv veut que Moscou s'engage à ne pas s'opposer à ce que l'Ukraine rejoigne l'Union européenne.


M. Medinski a qualifié l'approche ukrainienne de "constructive", et indiqué que la Russie lui "donnera une réponse". 


Selon lui, un éventuel accord serait signé par les chefs des diplomaties des deux pays, en présence de MM. Poutine et Zelensky.


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Le ministre turc des Affaire étrangères Mevlüt Cavusoglu a salué mardi les "progrès les plus significatifs" depuis le début de la guerre, lors des pourparlers entre la Russie et l'Ukraine à Istanbul, précisant qu'ils ne reprendraient pas ce mercredi.


"Il s'agit des progrès les plus significatifs depuis le début des négociations", a estimé le ministre au terme de trois heures de discussions entre les délégations russe et ukrainienne.


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Aux Etats-Unis, la Maison -Blanche a fait savoir que le président Joe Biden allait s'entretenir avec des dirigeants européens ce mardi de la guerre en Ukraine.


L'appel téléphonique, prévu à 9h15 (13h15 GMT, soit 15h15 heure de Bruxelles) avec les dirigeants français, britannique, allemand et italien, vise à "discuter des derniers développements concernant l'invasion russe de l'Ukraine", a précisé un porte-parole.


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Mykhaïlo Podoliak, membre de la délégation ukrainienne, a évoqué la Crimée dans un autre message posté sur Twitter. La question de la péninsule devrait faire l'objet "de négociations bilatérales entre la Ukraine et la Russie" sur une période de "15 ans" et que le "problème" ne sera réglé qu'"uniquement par des efforts politiques et diplomatiques" et  "en aucun cas par des moyens militaires".


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Conditions "suffisantes" pour une rencontre Zelensky-Poutine, dit le négociateur ukrainien


Les déclarations s' enchaînent à Istanbul. Les conditions pour une première rencontre entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue russe Vladimir Poutine depuis le début de l'invasion russe le 24 février, sont désormais "suffisantes" après cette  nouvelle session de pourparlers russo-ukrainiens ce mardi en Turquie, a affirmé le négociateur en chef ukrainien 


"Les résultats de la réunion d'aujourd'hui sont suffisants pour une rencontre au niveau des chefs d'Etat", a en effet déclaré David Arakhamia, Depuis le début du conflit, Moscou a toujours refusé une telle proposition de Kiev.


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Activité militaire russe "radicalement" réduite et neutralité ukrainienne contre un "accord international" garantissant la sécurité de Kyiv

Après plusieurs heures de discussions ce mardi à Istanbul entre les délégations russe et Ukrainienne, la Russie a annoncé qu'elle allait "radicalement réduire" son activité militaire en direction de Kyiv et Tcherniguiv en Ukraine.


"Les négociations sur un accord sur la neutralité et le statut non-nucléaire de l'Ukraine entrant dans une dimension pratique (...), il a été décidé, pour accroître la confiance, de réduire radicalement l'activité militaire en direction de Kyiv et Tcherniguiv", a déclaré le vice-ministre russe de la Défense, Alexandre Fomine.


Le chef de la délégation russe, Vladimir Medinski, a, lui, fait état de "discussions substantielles" lors de ces pourparlers sous l'égide de la Turquie.


Le négociateur en chef ukrainien a lui indiqué que l'Ukraine réclame un "accord international" pour garantir sa sécurité, un accord dont seraient signataires plusieurs pays garants.


"Nous insistons pour qu'il s'agisse d'un accord international qui sera signé par tous les garants de la sécurité", a déclaré David Arakhamia. "Nous voulons un mécanisme international de garanties de sécurité où les pays garants agiront de façon analogue au chapitre 5 de l’Otan et même de façon plus ferme", a-t-il ajouté.


Un autre négociateur ukrainien, Mykhaïlo Podoliak, qui est aussi conseiller du président Zelensky, est allé dans le même sens sur Twitter en ajoutant qu'un tel accord devrait être mis en oeuvre après "un référendum" et une validation des "parlements des pays garants".


"L'Ukraine acceptera un statut neutre si le système de garantie de sécurité fonctionne" a ajouté David Arakhamia. 


Kyiv demande également que cet accord international n'interdise en rien l'entrée de l'Ukraine dans l'UE, et que les pays garants s'engagent à contribuer à ce processus.


Pour que ces garanties puissent prendre effet dans les plus brefs délais, la Crimée et les territoires du Donbass sous contrôle des séparatistes prorusses seraient "temporairement exclus" de l'accord, a précisé M. Arakhamia.


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Le point à 13H


Ouverture des pourparlers directs entre la Russie et l'Ukraine à Istanbul 

Les pourparlers entre les délégations russe et ukrainienne à Istanbul ont débuté peu après 10H30. 


"Les deux parties ont des préoccupations légitimes", a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan en accueillant les délégations, les appelant à "mettre un terme à cette tragédie".


La dernière séance de négociations en présentiel, au niveau des ministres des Affaires étrangères à Antalya, en Turquie, n'avait débouché sur aucune avancée. Les discussions s'étaient depuis lors poursuivies par visioconférence.


Un des points importants des discussions porte sur "les garanties de sécurité et la neutralité, le statut dénucléarisé de notre Etat", avait déclaré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky à des médias russes, accusant son homologue Vladimir Poutine et son entourage de faire "traîner les choses".


Roman Abramovitch présent à Istanbul, Moscou nie l'empoisonnement

L'oligarque russe Roman Abramovitch joue bien un rôle de médiateur dans les pourparlers russo-ukrainiens qui s'ouvrent aujourd'hui à Istanbul, a indiqué le Kremlin.


"Abramovitch joue un rôle pour établir des contacts entre les parties russe et ukrainienne", a dit le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov lors d'un briefing. "Il est présent à Istanbul", bien qu'il ne soit pas un membre officiel de la délégation russe, a-t-il ajouté.


Dmitri Peskov a par ailleurs rejeté les affirmations du quotidien américain The Wall Street Journal assurant que Roman Abramovitch et deux négociateurs ukrainiens ont souffert de symptômes laissant penser à un possible empoisonnement après un précédent round de discussions.



Appel prévu aujourd'hui entre Macron et Poutine

Emmanuel Macron et Vladimir Poutine vont de nouveau se parler au téléphone mardi à 16H30 (14H30 GMT), a annoncé l'Elysée, notamment au sujet d'une opération humanitaire d'évacuation dans la ville ukrainienne assiégée de Marioupol organisée avec la France, la Grèce et la Turquie.


Le président français a déclaré qu'il voulait discuter avec son homologue russe "pour sécuriser l'opération humanitaire à Marioupol", précisant que l'objectif était de la lancer "dans les tout prochains jours", en reprochant à la Russie un "non-respect du droit humanitaire international".


Le patron de l'AIEA en visite en Ukraine

Le chef de l'AIEA se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, selon un communiqué de l'instance onusienne publié mardi.


"Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, cité par le communiqué.



Nouveaux couloirs humanitaires, notamment depuis Marioupol

L'Ukraine a annoncé une reprise des évacuations de civils via trois couloirs humanitaires, notamment depuis la ville assiégée de Marioupol.


"Trois couloirs humanitaires ont été validés pour aujourd'hui", a déclaré la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk dans une vidéo diffusée sur Telegram.


Selon elle, le premier couloir sera mis en place entre Marioupol et Zaporojie plus au nord par voiture, et de Berdiansk, où avaient déjà été évacués des civils au cours des jours précédents, vers Zaporojie.


Le deuxième couloir va de la ville de Melitopol, sous le contrôle des forces russes dans le sud du pays, à Zaporojie, et le troisième rejoint Zaporojie depuis Energodar, localité également entre les mains de Moscou, où est située une centrale nucléaire.



Mykolaïv : un bâtiment de l'administration régionale détruit

Une frappe russe a touché le siège de l'administration régionale de Mykolaïv, ville proche d'Odessa qui connaissait un répit dans les bombardements ces derniers jours, a indiqué  le gouverneur de cette région du sud de l'Ukraine sur Facebook. Au moins deux personnes seraient mortes, selon l'AFP.


Vitaly Kim a précisé dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux que les forces russes auraient attendu que les fonctionnaires soient arrivés dans l'immeuble, ce matin, pour le frapper. Il est lui-même indemne.



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L'enseigne de sports française Decathlon "suspend" ses activités en Russie


L'entreprise française spécialisée dans les articles de sport Decathlon, sous pression depuis le début de la guerre en Ukraine, a annoncé ce mardi dans un communiqué la suspension de ses activités en Russie, en raison de problèmes d'approvisionnement.


"Respectant scrupuleusement les sanctions internationales, Decathlon constate que les conditions d'approvisionnement ne sont plus réunies pour poursuivre son activité en Russie. Decathlon est amené à suspendre l'exploitation de ses magasins", écrit dans son communiqué l'enseigne de la galaxie Mulliez.


Decathlon est l'une des trois enseignes de l'association familiale Mulliez à être active en Russie, avec Auchan et Leroy-Merlin, qui y poursuivent pour leur part leur activité. Les trois marques étaient la cible de critiques ces derniers jours à cause de leur volonté affichée de rester en Russie.



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Roman Abramovitch présent à Istanbul, Moscou nie l'empoisonnement

L'oligarque russe Roman Abramovitch joue bien un rôle de médiateur dans les pourparlers russo-ukrainiens qui s'ouvrent aujourd'hui à Istanbul, a indiqué le Kremlin.


"Abramovitch joue un rôle pour établir des contacts entre les parties russe et ukrainienne", a dit le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov lors d'un briefing. "Il est présent à Istanbul", bien qu'il ne soit pas un membre officiel de la délégation russe, a-t-il ajouté.


Dmitri Peskov a par ailleurs rejeté les affirmations du quotidien américain The Wall Street Journal assurant que Roman Abramovitch et deux négociateurs ukrainiens ont souffert de symptômes laissant penser à un possible empoisonnement après un précédent round de discussions.


Roman Abramovitch (archives)
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Appel prévu aujourd'hui entre Macron et Poutine

Emmanuel Macron et Vladimir Poutine vont de nouveau se parler au téléphone mardi à 16H30 (14H30 GMT), a annoncé l'Elysée, notamment au sujet d'une opération humanitaire d'évacuation dans la ville ukrainienne assiégée de Marioupol organisée avec la France, la Grèce et la Turquie.


Le président français a déclaré qu'il voulait discuter avec son homologue russe "pour sécuriser l'opération humanitaire à Marioupol", précisant que l'objectif était de la lancer "dans les tout prochains jours", en reprochant à la Russie un "non-respect du droit humanitaire international".


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Le patron de l'AIEA en visite en Ukraine

Le chef de l'AIEA se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, selon un communiqué de l'instance onusienne publié mardi.


"Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, cité par le communiqué.


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Nouveaux couloirs humanitaires, notamment depuis Marioupol

L'Ukraine a annoncé une reprise des évacuations de civils via trois couloirs humanitaires, notamment depuis la ville assiégée de Marioupol.


"Trois couloirs humanitaires ont été validés pour aujourd'hui", a déclaré la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk dans une vidéo diffusée sur Telegram.


Selon elle, le premier couloir sera mis en place entre Marioupol et Zaporojie plus au nord par voiture, et de Berdiansk, où avaient déjà été évacués des civils au cours des jours précédents, vers Zaporojie.


Le deuxième couloir va de la ville de Melitopol, sous le contrôle des forces russes dans le sud du pays, à Zaporojie, et le troisième rejoint Zaporojie depuis Energodar, localité également entre les mains de Moscou, où est située une centrale nucléaire.


Lundi, les autorités ukrainiennes avaient annoncé renoncer à toute évacuation de civils pour la journée par crainte de "provocations" russes.



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Mykolaïv : un bâtiment de l'administration régionale détruit

Une frappe russe a touché le siège de l'administration régionale de Mykolaïv, ville proche d'Odessa qui connaissait un répit dans les bombardements ces derniers jours, a indiqué  le gouverneur de cette région du sud de l'Ukraine sur Facebook. Au moins deux personnes seraient mortes, selon l'AFP.


"Le bâtiment de l'administration régionale touché", a écrit le gouverneur Vitaly Kim, assurant que la plupart des personnes se trouvant à l'intérieur étaient indemnes. "On cherche huit civils et trois militaires", a précisé le responsable. 


Vitaly Kim a précisé dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux que les forces russes auraient attendu que les fonctionnaires soient arrivés dans l'immeuble, ce matin,  pour le frapper. Il est lui-même indemne.


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Ouverture des pourparlers directs entre la Russie et l'Ukraine à Istanbul 

Les pourparlers entre les délégations russe et ukrainienne à Istanbul ont débuté peu après 10H30.


L'oligarque russe Roman Abramovitch, qui tente de jouer les médiateurs entre Moscou et Kiev, était également présent à l'ouverture de la rencontre, selon une photo diffusée par la présidence turque, qui le montre assistant à l'allocution de Recep Tayyip Erdogan.


Après une réunion dans la capitale ukrainienne courant mars, le milliardaire dont deux yachts sont depuis la semaine dernière ancrés au large des côtes turques, a montré des signes faisant penser à un empoisonnement. 


Un autre cliché de l'agence russe Ria Novosti montre également M. Abramovitch en présence de M. Erdogan et de son ministre des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu.


Dans une interview à la chaîne d'information Ukrayina 24, le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kuleba a recommandé aux participants à ces négociations de ne pas "manger ou boire quoi que ce soit" ainsi que d'éviter "de toucher toute surface".



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Pourparlers turcs : la Russie et l'Ukraine "ont des préoccupations légitimes", affirme Erdogan

La Russie et l'Ukraine ont toutes deux "des préoccupations légitimes", a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan en accueillant les délégations de négociateurs des deux pays à Istanbul, les appelant à "mettre un terme à cette tragédie".


Les pourparlers devaient commencer immédiatement après cette réception dans le palais de Dolmabahçe à Istanbul, dernière résidence sur le Bosphore des sultans et ultime centre administratif de l'Empire ottoman, où la présidence turque dispose de bureaux.


C'est la première fois que les délégations des deux pays, arrivées la veille en Turquie, se retrouvent en présence après plusieurs rounds de pourparlers en visioconférence.


"Les deux parties ont des préoccupations légitimes, il est possible de parvenir à une solution acceptable pour la communauté internationale" a poursuivi le chef de l'Etat turc.


"C'est aux deux parties de mettre un terme à cette tragédie", a-t-il insisté, estimant que "l'extension du conflit n'est dans l'intérêt de personne".


La Turquie avait accueilli le 10 mars à Antalya (sud) la première rencontre entre les ministres des Affaires étrangères russe et ukrainien depuis le début de l'invasion russe le 24 février.


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Les principaux enjeux des pourparlers turcs

Les négociateurs russes sont arrivés hier à Istanbul, où une précédente séance de négociations avait déjà eu lieu le 10 mars, au niveau des ministres des Affaires étrangères, mais n'avait débouché sur aucune avancée. 


Un des points importants des négociations porte sur "les garanties de sécurité et la neutralité, le statut dénucléarisé de notre Etat", a déclaré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky à des médias russes.


Ce point "est étudié en profondeur" mais il rendra nécessaires un référendum et des garanties de sécurité, a-t-il prévenu, accusant son homologue russe Vladimir Poutine et son entourage de faire "traîner les choses".


Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a cependant tempéré les attentes lundi, soulignant l'absence d'"avancées significatives" dans les négociations jusqu'à présent.


Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba a indiqué par la suite que Volodymyr Zelensky avait "donné des instructions très claires à notre délégation. Nous ne marchandons pas les personnes, ni territoire ou la souveraineté".


D'après lui, l'objectif a minima des discussions en Turquie est de résoudre les problèmes humanitaires et le but ultime est de décrocher un cessez-le-feu stable.


Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a jugé qu'une rencontre entre Poutine et Zelensky, que ce dernier appelle de ses voeux, serait pour l'heure "contre-productive".



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Le point à 7H


Situation "catastrophique" à Marioupol 

Les autorités ukrainiennes s'inquiétaient d'une aggravation de la situation dans le port assiégé de Marioupol, où au moins 5000 personnes auraient déjà péri, selon une responsable ukrainienne.


Des médias russes ont affirmé lundi que l'autoritaire dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov, proche de Vladimir Poutine, s'était rendu à Marioupol pour galvaniser ses troupes qui participent à l'assaut contre la ville portuaire.


Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé dimanche le blocus total de ce port stratégique sur la mer d'Azov où environ 160 000 personnes sont toujours coincées, d'après son maire.



Combats acharnés autour de Kyiv

De nouveaux combats ont eu lieu lundi dans plusieurs localités autour de Kiev, notamment à Stoyanka, à la lisière ouest de la capitale.


"L'ennemi tente d'effectuer une percée autour de Kiev et de bloquer les routes", a affirmé Ganna Malyar, vice-ministre de la Défense.


L'Ukraine a annoncé lundi soir que la ville d'Irpin, théâtre de féroces combats dans la banlieue de Kiev, avait été reprise aux forces russes.


En périphérie est de Kharkiv, deuxième ville du pays, les forces ukrainiennes ont repris le contrôle d'un village, a constaté lundi un journaliste de l'AFP.



"Preuves" d'armes interdites dans le sud

L'Ukraine a des "preuves" de l'utilisation par les forces russes de bombes à sous-munitions, des armes interdites par les conventions internationales, dans deux régions du sud de son territoire, a assuré lundi la procureure générale ukrainienne Iryna Venediktova.



Neutralité sur la table

Les négociateurs russes sont arrivés lundi à Istanbul pour une nouvelle session de pourparlers avec les Ukrainiens qui devrait débuter mardi, selon des images de la chaîne turque NTV.


Un des points importants des négociations, qui devraient débuter mardi, porte sur "les garanties de sécurité et la neutralité, le statut dénucléarisé de notre Etat", a déclaré dimanche le président Zelensky à des médias russes.


Ce point "est étudié en profondeur", a-t-il affirmé. Mais il nécessitera un référendum et des garanties de sécurité, a-t-il ajouté.


Possible tentative d'empoisonnement contre Abramovitch 

L'oligarque russe Roman Abramovitch, qui tente de jouer les médiateurs entre Moscou et Kyiv ainsi que deux négociateurs ukrainiens ont souffert de symptômes qui font penser à un possible "empoisonnement", a rapporté le Wall Street Journal.


Ces symptômes se sont ensuite améliorés "et leurs vies ne sont pas en danger", écrit le journal américain citant des "personnes au courant de cette situation".



Le groupe Wagner déployé dans l'Est 

Des mercenaires russes du groupe Wagner se sont déployés dans l'est de l'Ukraine, a indiqué le ministère britannique de la Défense, qui estime que plus de 1000 combattants de la sulfureuse société paramilitaire pourraient être amenés à combattre dans le pays.


"En raison de lourdes pertes et d'une invasion (en Ukraine) largement bloquée, la Russie a très probablement été forcée de redéployer son personnel Wagner pour l'Ukraine au dépend des opérations en Afrique et en Syrie", a indiqué le ministère dans un point de situation publié sur son compte Twitter.


Réputés proches de Vladimir Poutine, le groupe Wagner et ses paramilitaires sont soupçonnés d'exactions au Mali, en Libye ou encore en Syrie. 


Selon un responsable occidental vendredi, les forces russes concentrent leurs efforts en Ukraine sur le Donbass où elles font face à "la mieux équipée et la plus entraînée des forces ukrainiennes". 



Novaïa Gazeta suspend sa publication 

"Pas d'autre solution" face à la "censure militaire": le journal indépendant russe Novaïa Gazeta a annoncé lundi suspendre ses publications jusqu'à la fin de l'intervention en Ukraine, en plein durcissement du Kremlin contre les voix dissonantes.



Plusieurs pays de l'UE dissuadent les combattants volontaires 

Les sept pays du "groupe Vendôme", dont la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, ont appelé lundi leurs ressortissants à s’abstenir de s'engager comme volontaires pour aider l'Ukraine à combattre l'offensive russe, dans une déclaration de leurs ministres de la Justice.



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