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L'ex-directeur de la sécurité de Twitter accuse la plateforme d'avoir menti sur les faux comptes

Les affirmations du lanceur d'alerte de Twitter viennent raviver le conflit qui oppose Elon Musk et la plateforme de micro-blogging
Les affirmations du lanceur d'alerte de Twitter viennent raviver le conflit qui oppose Elon Musk et la plateforme de micro-blogging Tous droits réservés  Hannibal Hanschke / Richard Drew / AP
Tous droits réservés Hannibal Hanschke / Richard Drew / AP
Par Euronews avec AFP
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La question des faux comptes est au cœur du litige qui oppose Elon Musk à Twitter. Le patron de SpaceX et Tesla affirme qu'ils occupent 20% de la plateforme, tandis qu'ils ne sont que 5% d'après Twitter.

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L'ancien chef de la sécurité de Twitter Peiter Zatko, dit "Mudge", affirme que le réseau social aurait menti sur sa lutte contre les faux comptes. 

Une question au cœur du litige juridique entre le réseau social et Elon Musk. Le milliardaire à la tête de Tesla et SpaceX avait renoncé à acquérir la plateforme pour près de 40 milliards de dollars, en affirmant que près de 20% des comptes n'étaient pas des utilisateurs réels. Pour Twitter, ce nombre se situerait plutôt autour de 5%.

Sur Twitter, Elon Musk a partagé une référence à la chanson "Sifflez vite vite" du film Pinocchio. Un jeu de mot avec le terme anglais pour lanceur d'alerte "whistleblower", littéralement celui qui souffle dans le sifflet.

"Des défaillances graves et choquantes"

Dans un document de 84 pages adressé le mois dernier au ministère de la Justice des Etats-Unis, au régulateur boursier et à l'autorité de la concurrence du pays, révélé mardi par le Washington Post, Peiter Zatko dénonce de plus des "défaillances graves et choquantes, de l'ignorance volontaire et des menaces à la sécurité nationale et à la démocratie".

Twitter assure de son côté que la sécurité et la protection des données font partie de ses priorités et affirme, dans un message transmis à l'AFP, que la plainte est "truffée d'incohérences et d'imprécisions".

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