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Frappes israéliennes sur le territoire syrien après la chute de Bachar al-Assad

Israël attaque le territoire syrien alors que le Kremlin confirme l'autorisation de Vladimir Poutine d'accorder l'asile à Bachar al-Assad
Israël attaque le territoire syrien alors que le Kremlin confirme l'autorisation de Vladimir Poutine d'accorder l'asile à Bachar al-Assad Tous droits réservés  Matias Delacroix/Copyright 2024 The AP. Tous droits réservés
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Par Euronews
Publié le Mis à jour
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L'armée israélienne s'est emparée d'une zone tampon du plateau de Golan en Syrie, en violation d'un accord de désengagement datant de 1974, tandis que la Russie a accordé l'asile au président syrien Bachar al-Assad et à sa famille.

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Suite à la chute du régime de Bachar al-Assad, Israël a annoncé lundi mener des attaques contre des "systèmes d'armes" sur le territoire syrien, dans le cadre d'une mesure qualifiée de "limitée et temporaire".

Cité par The Guardian, le ministre israélien des Affaires étrangères Gideon Saar a déclaré : "Le seul intérêt que nous avons est la sécurité d'Israël et de ses citoyens. C'est pourquoi nous avons attaqué des systèmes d'armes stratégiques, tels que des restes d'armes chimiques ainsi que des missiles et roquettes à longue portée, afin qu'ils ne tombent pas entre les mains d'extrémistes".

Vladimir Poutine a autorisé l'arrivée de Bachar al-Assad

Ces frappes israéliennes interviennent alors que le Kremlin a confirmé que Vladimir Poutine a lui-même autorisé le départ de Bachar al-Assad pour la Russie.

"De telles décisions ne peuvent certainement pas être prises sans le chef de l'État", a déclaré le secrétaire de presse du président russe, Dmitri Peskov, lors d'une conférence téléphonique avec des journalistes. "C'est lui qui a pris la décision".

Dimitri Peskov a cependant refusé de donner des détails sur l'endroit où se trouvent Bachar al-Assad et sa famille, affirmant que Vladimir Poutine n'avait pas l'intention de les rencontrer.

Enfin, le porte-parole du Kremlin a affirmé que Moscou avait fait tout le nécessaire pour garantir la sécurité de ses bases militaires en Syrie, en attendant d'engager un dialogue avec les nouvelles autorités syriennes.

"Pour l'instant, nous assistons à une période de transformation et d'instabilité extrême, ce qui prendra évidemment du temps et nécessitera une conversation sérieuse avec ceux qui détiendront le pouvoir", a-t-il déclaré.

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