Mieux vaut un baril à 50 dollars que deux à 30. Le numéro deux du pétrole en Russie, Lukoil pousse pour une réunion de l’Opep avec Moscou. Objectif
PUBLICITÉMieux vaut un baril à 50 dollars que deux à 30. Le numéro deux du pétrole en Russie, Lukoil pousse pour une réunion de l’Opep avec Moscou. Objectif : se coordonner pour endiguer la chute des cours et acter une diminution de la production. L’iniative est toujours à l‘étude côté Opep mais le Kremlin a déjà donné son feu vert a annoncé jeudi le ministre de l’Energie Alexandre Novak.
Résultat : les cours remontent ce jeudi après avoir chuté la semaine dernière à leurs plus bas niveau en douze ans.
Le cartel se montre pour l’instant divisé et n’a pas abaissé ses quotas de production.
La Russie en pleine récession n’a pris aucune décision sur une possible réduction de ses extractions.
En 2015, la production de pétrole de la Russie a atteint un record pour la période post-soviétique, à 10,7 millions de barils par jour en moyenne.