Les manifestants plaident pour une plus grande représentation des jeunes dans les négociations des Nations Unies.
Des milliers de manifestants et d’indigènes dans les rues de Belem pour « faire pression » sur les négociateurs de la COP30.
Des représentants des communautés indigènes en tenue traditionnelle se sont joints à la marche et appellent à prendre des mesures pour notamment protéger l’Amazonie.
Les militants fustigent les énergies fossiles et les activistes du mouvement « Fridays for Future réclame une plus grande représentation des jeunes dans les négociations.
Rachelle Junsay, Climate Action Philippines : "Il s'agit de l'avenir dont nous parlons. Il s'agit de la survie de notre espèce. Et pourtant, les décideurs assis à la table aujourd'hui, ceux qui sont dans les panels de négociation, ceux qui sont dans les zones bleues dans leurs salles climatisées, parlent des gens. Et pourtant, les vraies victimes, les communautés réelles, ne sont pas autour de la table, ne participent pas aux conversations."
C'est la première fois en trois ans que des manifestants ont été autorisés à manifester à l'extérieur des négociations de l'ONU sur le climat.
Les négociations de Belem sont marquées par l’absence de la Chine et des Etats-Unis.