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Donald Trump et J. D. Vance au soutien de Marine Le Pen après sa condamnation

Marine Le Pen quitte le siège du RN après sa condamnation, à Paris, le 31 mars 2025.
Marine Le Pen quitte le siège du RN après sa condamnation, à Paris, le 31 mars 2025. Tous droits réservés  Thomas Padilla/Copyright 2025 The AP. All rights reserved.
Tous droits réservés Thomas Padilla/Copyright 2025 The AP. All rights reserved.
Par Euronews
Publié le Mis à jour
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Le président américain appelle à la "libération" de la dirigeante d’extrême droite, dénonçant une "chasse aux sorcières".

Donald Trump s'est exprimé, dans la nuit de jeudi à vendredi, sur la condamnation de Marine Le Pen, appelant à sa "libération" et estimant que la peine inéligibilité infligée dans l'affaire des assistants parlementaires constituait une "chasse aux sorcières".

"Je ne connais pas Marine Le Pen", a indiqué le président américain, tout en affirmant : "Juste avant ce qui serait une Grande Victoire, ils s’en prennent à elle sur une accusation mineure dont elle ne savait probablement rien."

"C’est tellement mauvais pour la France et pour le Grand Peuple de France. (…) LIBÉREZ MARINE LE PEN !", a écrit Donald Trump sur son réseaux Truth Social.

Un peu plus tôt, le vice-président américain J. D. Vance avait également critiqué la décision de justice, indiquant que, "ce n'est pas ça, la démocratie."

Après sa condamnation, Marine Le Pen a reçu le soutien de plusieurs dirigeants européens populistes ou d'extrême droite comme Viktor Orbán, Matteo Salvini, ou encore Geert Wilders.

La cour d'appel de Paris a toutefois déclaré mardi, au lendemain de sa condamnation, qu'elle envisageait de rendre une décision sur son affaire "à l'été 2026."

Si la décision est bien rendue plusieurs mois avant l'élection présidentielle de 2027 et qu'elle lui est favorable, cela donnerait à la dirigeante du Rassemblement national suffisamment de temps pour entrer dans la course.

Reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l’affaire des assistants parlementaires du Front national (devenu RN) au Parlement européen, Marine Le Pen a été condamnée à une peine de quatre ans d’emprisonnement dont deux ans ferme, aménageable avec un bracelet électronique, à 100 000 euros d’amende, et à cinq ans d’inéligibilité, avec exécution provisoire.

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