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Ouverture du sommet de l’UE à Bruxelles : l'Ukraine, Gaza et la défense au cœur des discussions

Les chefs d’État et de gouvernement réunis à Bruxelles pour un sommet européen marqué par des tensions sur l’Ukraine, Gaza et la défense.
Les chefs d’État et de gouvernement réunis à Bruxelles pour un sommet européen marqué par des tensions sur l’Ukraine, Gaza et la défense. Tous droits réservés  Geert Vanden Wijngaert/Copyright 2025 The AP. All rights reserved
Tous droits réservés Geert Vanden Wijngaert/Copyright 2025 The AP. All rights reserved
Par Edwige Wamanisa
Publié le Mis à jour
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À Bruxelles, les dirigeants de l’UE se réunissent pour un sommet sous tension sur l’adhésion de l’Ukraine, la guerre à Gaza et la politique de défense.

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Le sommet européen s’est ouvert ce jeudi à Bruxelles, réunissant les chefs d’État et de gouvernement des 27 pays membres autour de plusieurs enjeux majeurs : l’adhésion de l’Ukraine, la guerre à Gaza, la politique commerciale et le renforcement de la défense européenne.

Commerce, Ukraine, Gaza : des positions contrastées

Dès l’ouverture, le chancelier allemand Friedrich Merz a exprimé son soutien à une relance des échanges économiques transatlantiques. "Je soutiens la Commission européenne dans ses efforts pour parvenir à un accord commercial rapide avec les États-Unis. J’aimerais que l’accord du Mercosur soit relancé et que d’autres accords commerciaux soient conclus", a-t-il déclaré.

Sur la question ukrainienne, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a rappelé sa position inflexible. S’appuyant sur un sondage national dans lequel 95 % des participants rejettent l’adhésion de l’Ukraine, il a affirmé : "Dans le cas de l’adhésion de l’Ukraine à l’UE, la Hongrie ne peut être contournée. Il faut une décision unanime. Nous ne l’avons pas. Cela n’arrivera donc pas."

La situation à Gaza occupe également une place importante dans les discussions. Un appel à un cessez-le-feu est attendu, mais plusieurs États membres, comme l’Irlande, demandent des mesures plus fermes envers Israël. "Les citoyens européens trouvent incompréhensible que l’Europe ne puisse faire pression sur Israël, pour qu’il mette fin à cette guerre à Gaza, pour qu’il cesse de massacrer des enfants et des civils innocents", a déclaré le Premier ministre irlandais Micheál Martin.

Une volonté commune de renforcer la défense européenne

Les dirigeants doivent également se mettre d’accord sur un plan visant à renforcer l’industrie de défense européenne. Il s’agit notamment d’encourager les investissements communs et la production conjointe d’équipements stratégiques, dans un contexte de menaces persistantes aux frontières de l’Union.

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