L’enquête s‘élargit aux Etats-Unis : d’autres constructeurs pourraient eux-aussi être concernés par une fraude à grande échelle. Pour l’instant seul
L’enquête s‘élargit aux Etats-Unis : d’autres constructeurs pourraient eux-aussi être concernés par une fraude à grande échelle. Pour l’instant seul Volkswagen est accusé d’avoir triché, avec un logiciel intégré à certains véhicules diesel. Ce logiciel permet de fausser les résultats de tests anti-pollution.
Pour l’instant la fraude porterait sur 500.000 véhicules vendus aux Etats-Unis.
Josh Earnest, porte-parole de la Maison-Blanche :
“Il est juste de dire que nous sommes très préoccupés par ces révélations. Mais l’enquête est du ressort de l’agence fédérale de protection de l’environnement, et c’est ce qu’ils sont en train de faire.”
L’affaire révélée vendredi aux Etats-Unis a fait dévisser le titre du groupe en Bourse ce lundi. Une amende pourrait atteindre en théorie, 16 milliards d’euros (18 milliards de dollars) aux Etats-Unis.
Et selon l’ONG qui a fait éclater le scandale, l’International Council on Clean Transportation, il n’est “pas exclu” que Volkswagen ait eu recours aux mêmes techniques de dissimulation en Europe.