Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Brexit : partisans et adversaires

Brexit : partisans et adversaires
Tous droits réservés 
Par Beatriz Beiras avec Christelle Pétrongari
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Samedi 20 février : David Cameron, après avoir conclu un accord avec ses homologues européens à Bruxelles, fixe enfin la date du référendum sur le

PUBLICITÉ

Samedi 20 février : David Cameron, après avoir conclu un accord avec ses homologues européens à Bruxelles, fixe enfin la date du référendum sur le maintien de son pays dans l’Union européenne : ce sera le 23 juin.
Deux jours plus tard, à la Chambre des Communes, c’est la cohue, la division, les lignes traditionnelles droite-gauche volent en éclats.

Royaume-Uni. #Brexit : la bataille commence esavarit</a> un pronostic par hasard ❓ <a href="https://t.co/xwG1xlm96U">https://t.co/xwG1xlm96U</a></p>&mdash; Didier Delmer (didierdelmer) 15 avril 2016

#Brexit : début de la campagne au Royaume-Uni ► https://t.co/sJYQ8HRr2T pic.twitter.com/nUecNvUglX

— France Inter (@franceinter) 15 avril 2016

Du côté de l’opposition, le leader du parti travailliste, Jeremy Corbyn, non sans ambiguïté, va se limiter à saluer le référendum, sans se positionner personnellement contre le Brexit.

Dans le camp des conservateurs du Premier ministre, la pagaille règne. Boris Johnson, le maire de Londres, en méprisant le “deal” arraché par son ami “David” s‘érige en figure de proue des partisans du “Brexit”.
D’autres grosses pointures des “Tories” entrent elles aussi en dissidence. Désormais, elles sont libres de faire campagne pour le “Out”. Parmi elles, plusieurs membres du gouvernement notamment le ministre de la Justice ou le leader de la chambre des communes.

À dix semaines du référendum, le risque d'un #Brexit n'a jamais été aussi élevé. Les sondages sont à 50-50. https://t.co/UjWIK9ln70 #UK

— Amaury Brelet (@AmauryBrelet) 15 avril 2016

C’est donc un clivage atypique qui s‘établit. Le Premier ministre fait campagne pour le maintien, et se réjouit d‘être rejoint par des membres de l’opposition :

“Il y a beaucoup de choses sur lesquelles nous sommes en désaccord avec les travaillistes, les libéraux, les Verts et d’autres. Mais nous sommes rassemblés autour de l’idée que la Grande-Bretagne doit rester dans une Union européenne réformée.”

Longtemps silencieux, le leader travailliste, Jeremy Corbyn, a formellement appelé les Britanniques à voter en faveur du maintien du pays dans l’UE :

“On ne peut pas construire un monde meilleur sans y prendre part, en formant des alliances et en apportant des changements. L’Union européenne, avec tous ses défauts, a démontré qu’elle était un cadre international crucial pour le faire. Voilà pourquoi nous sommes en faveur du maintien de la Grande-Bretagne dans l’Europe et j’espère que vous aussi.”

#Brexit jeremycorbyn</a> se prononce en faveur du maintien dans l&#39;<a href="https://twitter.com/hashtag/UE?src=hash">#UE</a> <a href="https://t.co/1rSwfA3pDs">https://t.co/1rSwfA3pDs</a> <a href="https://t.co/9qe0T8vwFS">pic.twitter.com/9qe0T8vwFS</a></p>&mdash; Ouest-France (OuestFrance) 14 avril 2016

Collective international action through the EU is vital to meeting the challenges we face. #LabourInForBritain pic.twitter.com/uWn5YaapOj

— The Labour Party (@UKLabour) 14 avril 2016

Engagée depuis longtemps, Nicola Sturgeon, la Première ministre d‘Écosse et patronne du Parti nationaliste écossais a elle aussi appelé les Britanniques à voter massivement pour le maintien du Royaume Uni dans l’Union Européenne.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Moldavie : double scrutin dans l'ombre de Moscou

Les Suisses rejettent la réforme sur la biodiversité

Keir Starmer en visite en France assure vouloir relancer les relations avec l’UE