Mais la déclaration adoptée lundi à New York reste non contraignante.
En pleine crise migratoire internationale, et pour la première fois, les 193 pays de l’ONU ont adopté lundi à New York une déclaration visant à améliorer le sort des 65 millions de déplacés, dont 21 millions de réfugiés, dans le monde.
Le secrétaire général des Nations unies s’est battu pour que cette déclaration soit plus consistante. En vain.
Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies : “Les réfugiés et les migrants ne doivent pas être considérés comme un fardeau. Ils offrent un grand potentiel si nous parvenons à le débloquer”.
Au final, la déclaration n’est en rien contraignante. Elle engage les signataires à protéger les droits des réfugiés et à accroître l’aide aux pays d’accueil. Les ONG parlent d’une occasion manquée.
#RTSvidéo 2500 gilets de sauvetage disposés devant le Parlement de #Londres pour dénoncer le sort des #réfugiéspic.twitter.com/xGGKwRflEi
— RTSinfo (@RTSinfo) 19 septembre 2016
Avec Agences