Les dirigeants du G7 ont réitéré leur engagement en faveur de la paix et de la stabilité au Moyen-Orient. Pointant l'Iran comme "principale source d'instabilité et de terrorisme dans la région", les chefs d'États ont réaffirmé le droit d'Israël à se défendre.
"L’Iran ne pourra jamais disposer d’une arme nucléaire." C'est ce qu'ont annoncé les dirigeants du G7 dans une déclaration commune.
Si celle-ci est de tradition lors du sommet, dans le contexte géopolitique actuel, hautement inflammable, le Premier ministre canadien Mark Carney avait annoncé écarter, cette fois-ci, toute signature d'un protocole.
Réaffirmation du droit d'Israël à se défendre
Les chefs d'État du G7 sont toutefois parvenus à un accord, du moins quant à leur engagement pour la paix et la stabilité au Moyen-Orient.
Les dirigeants ont, dans ce contexte, réaffirmé "le droit d'Israël à se défendre" et ont pointé l'Iran comme "principale source d'instabilité et de terrorisme dans la région".
Plaidant en faveur d'"une désescalade plus vaste des hostilités", le G7 a également appelé à une trêve à Gaza.
Départ précipité de Donald Trump
Commentant le départ précipité de Donald Trump du sommet, Emmanuel Macron a affirmé que le président américain œuvrait en faveur d'un cessez-le-feu entre Israël et l'Iran.
Une déclaration à laquelle Donald Trump a immédiatement réagi sur son réseau social Truth Social en rétorquant que "le président français n'avait rien compris à ses intentions."
Le locataire de la Maison Blanche a dit travailler à quelque chose de "beaucoup plus important" sans fournir plus de détails.