Depuis sa nouvelle arrestation le 4 avril à son domicile de Tokyo, un mois à peine après sa libération sous caution, l'ancien président de Renault et de Nissan se trouve dans une prison du nord de la capitale japonaise.
La garde à vue de Carlos Ghosn est prolongée jusqu'au 22 avril, le temps pour le ministère public de trouver contre lui de nouveaux chefs d'inculpation, ou de décider au contraire de le remettre en liberté.
Depuis sa nouvelle arrestation le 4 avril à son domicile de Tokyo, un mois à peine après sa libération sous caution, l'ancien président de Renault et de Nissan se trouve dans une prison du nord de la capitale japonaise, où il continue d'être interrogé par les enquêteurs.
Cette fois, c'est un enrichissement personnel de cinq millions de dollars, aux dépens de Nissan, qui lui est reproché. Acharnement, détention illégale, dénoncent ses avocats. Carlos Ghosn a déjà passé plus de trois mois en prison et payé une caution de neuf millions de dollars.