Pas d'augmentation du rythme de production du pétrole à prévoir, c'est ce qui ressort d'une importante réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à Jeddah, en Arabie saoudite, ce dimanche.
Pas d'augmentation du rythme de production du pétrole à prévoir, c'est ce qui ressort d'une importante réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à Jeddah, en Arabie saoudite, ce dimanche.
Car malgré les sanctions américaines en Iran et la crise au Vénézuela, qui ont fait que la production de ces deux pays a chuté, les stocks mondiaux augmentent. Et cela inquiète l'Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Uni.
A son plus bas niveau en cinq ans, la production iranienne pourrait chuter en mai à des niveaux sans précédents depuis la guerre Iran-Irak, dans les années 80.
Le niveau de production de pétrole décidé par l'Opep l'an dernier devrait donc rester le même, à hauteur de 1,2 million de barils par jour.
Fin 2018, une hausse des stocks avait entraîné une forte chute des prix.