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Aide humanitaire à Gaza, pourparlers en Ukraine : l'appel à la paix du pape Léon XIV

Le pape Léon XIV à son arrivée pour sa première audience générale hebdomadaire sur la place Saint-Pierre, le mercredi 21 mai 2025.
Le pape Léon XIV à son arrivée pour sa première audience générale hebdomadaire sur la place Saint-Pierre, le mercredi 21 mai 2025. Tous droits réservés  AP Photo
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Par Euronews avec AP
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Lors de sa première audience générale, le pape Léon XIV a réaffirmé sa volonté de voir la guerre à Gaza se terminer. Il a également exprimé sa volonté d'agir pour la paix en Ukraine.

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Quarante mille fidèles se sont pressés sur la place Saint-Pierre, au Vatican, ce mercredi 21 mai, pour la première audience générale du pape Léon XIV, ce rendez-vous hebdomadaire que les papes respectent depuis des décennies afin de permettre aux fidèles ordinaires de rencontrer le souverain pontife en personne.

Après avoir fait un tour de la place à bord de la papamobile, bénissant plusieurs bébés, le souverain pontife a eu une pensée pour son prédécesseur, le pape François, décédé un mois plus tôt.

Puis, comme le veut la tradition, Léon XIV a conclut cette audience par un bref appel sur un sujet d'actualité. "La situation dans la bande de Gaza est de plus en plus préoccupante et douloureuse", a-t-il déclaré.

Il a réitéré ses appels à mettre fin aux hostilités, "dont le prix est payé par les enfants, les personnes âgées et les malades", a assuré le Saint-Père.

Volonté d'agir pour la paix en Ukraine

La veille, le pape Léon XIV s'était exprimé sur la guerre en Ukraine, en réaffirmant la volonté du Vatican d'accueillir le prochain cycle de négociations pour un cessez-le-feu entre les deux pays, après l'échec des pourparlers à Istanbul.

Le secrétaire d’État du Saint-Siège (numéro deux du Vatican, NDLR), Pietro Parolin a confirmé la disponibilité du souverain pontife pour être l’hôte d’une "rencontre directe" entre des responsables ukrainiens et russes.

Cette possibilité de négociations au Vatican réjouit les dirigeants occidentaux. Les présidents américain Donald Trump, ukrainien Volodymyr Zelensky, finlandais Alexander Stubb et français Emmanuel Macron, se sont montrés enthousiastes, tout comme le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne Giorgia Meloni et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

L'interrogation porte désormais sur Vladimir Poutine, qui avait déjà snobé la réunion organisée en Turquie.

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