Nigeria : 1 000 jours depuis l'enlèvement des lycéennes de Chibok

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Par Euronews
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Le collectif nigérian Bring Back Our Girls a manifesté sa colère, ce dimanche 8 janvier, dans les rues d’Abuja, la capitale.

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Le collectif nigérian Bring Back Our Girls a manifesté sa colère, ce dimanche 8 janvier, dans les rues d’Abuja, la capitale. 1 000 jours après l’enlèvement de plus de 200 lycéennes par Boko Haram, les militantes accusent le Président Buhari de ne pas faire le nécessaire pour la libération de ces jeunes filles. Le chef de l‘État avait pourtant fait de leur libération sa priorité lors de son élection en mars 2015

Rendez-nous nos filles, otages de boko haram depuis plus de deux ans. #BringBackOurGirlspic.twitter.com/SFg7WkIp9a

— Africa. (@africa_debout) 2 janvier 2017

“La réponse de l’administration Buhari à la question des jeunes filles de Chibok est à l’image du reste de sa politique, que ce soit pour l’insécurité, les conditions des réfugiés intérieurs, l’armée, la corruption et sa piteuse gouvernance”, s’indigne Aïcha Yessoufou, l’une des responsables du collectif.

276 lycéennes ont été enlevées le 14 avril 2014 par les islamistes de Boko Haram. Leur chef assure qu’elles sont traitées en esclaves, vendues ou mariées de force.
Depuis, seules une cinquantaine d’entre elles se sont échappées. Une vingtaine d’autres ont été libérées.

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