Les \u00e9lecteurs \u00e9taient appel\u00e9s \u00e0 se prononcer lors d'un r\u00e9f\u00e9rendum controvers\u00e9 sur une modification de la constitution. Elle est destin\u00e9e \u00e0 renforcer les pouvoirs du pr\u00e9sident turc.

Turquie. Un r\u00e9f\u00e9rendum pour saboter la d\u00e9mocratie https://t.co/2tIfnWPsqIpic.twitter.com/tZctNOliKz

— Courrier inter (courrierinter) 16 avril 2017 Le pouvoir ex\u00e9cutif sera d\u00e9tenu par le pr\u00e9sident, la fonction de Premier ministre sera supprim\u00e9e et Recep Tayyip Erdogan pourrait rester au pouvoir au moins jusqu\u2019en 2029.Ses d\u00e9tracteurs d\u00e9noncent une d\u00e9rive autoritaire. Comprendre le d\u00e9clin de la d\u00e9mocratie en Turquie https://t.co/ZeTcTR6dLF\u2014 Le Monde (@lemondefr) 16 avril 2017 A l'heure du r\u00e9f\u00e9rendum en #Turquie, retour sur la d\u00e9rive autoritaire du r\u00e9gime de Recep Tayyip #Erdogan. #rappel https://t.co/JqFW6oUjYz pic.twitter.com/qmIsBvoPf5\u2014 R\u00e9dac France Culture (@FC_actu) 16 avril 2017 L\u2019opposition d\u00e9nonce des manipulations, et exige que soient recompt\u00e9s 60% des bulletins. Le Conseil \u00e9lectoral sup\u00e9rieur turc a annonc\u00e9 en plein r\u00e9f\u00e9rendum que les bulletins ne comportant pas le tampon officiel du bureau de vote seraient tout de m\u00eame valides, suscitant la col\u00e8re de l\u2019opposition.", "dateCreated": "2017-04-16 19:59:50", "dateModified": "2017-04-16 19:59:50 +02:00", "datePublished": "2017-04-16 19:59:50 +02:00", "image": { "@type": "ImageObject", "url": "https://static.euronews.com/articles/363345/1440x810_363345.jpg", "width": "1440px", "height": "810px", "caption": "R\u00e9f\u00e9rendum en Turquie : les premiers r\u00e9sultats partiels donnent la victoire du oui. Gr\u00e2ce \u00e0 la nouvelle constitution, Erdogan sera bien un hyper pr\u00e9sident.", "thumbnail": "https://static.euronews.com/articles/363345/385x202_363345.jpg", "publisher": { "@type": "Organization", "name": "euronews", "url": "https://static.euronews.com/website/images/euronews-logo-main-blue-403x60.png" } }, "author": { "@type": "Person", "name": "Euronews", "url": "https://fr.euronews.com/", "sameAs": [ "https://www.facebook.com/fr.euronews", "https://twitter.com/euronewsfr", "https://flipboard.com/@euronewsfr", "https://www.linkedin.com/company/euronews" ] }, "publisher": { "@type": "Organization", "name": "Euronews", "legalName": "Euronews", "url": "https://fr.euronews.com/", "logo": { "@type": "ImageObject", "url": "https://static.euronews.com/website/images/euronews-logo-main-blue-403x60.png", "width": "403px", "height": "60px" }, "sameAs": [ "https://www.facebook.com/fr.euronews", "https://twitter.com/euronewsfr", "https://flipboard.com/@euronewsfr", "https://www.linkedin.com/company/euronews" ] }, "video": { "@type": "VideoObject", "contentUrl": "https://video.euronews.com/mp4/med/EN/NW/SU/17/04/16/fr/170416_NWSU_170A0-190306_F.mp4", "description": "R\u00e9f\u00e9rendum en Turquie : les premiers r\u00e9sultats partiels donnent la victoire du oui. Gr\u00e2ce \u00e0 la nouvelle constitution, Erdogan sera bien un hyper pr\u00e9sident.", "duration": "PT45S", "embedUrl": "https://fr.euronews.com/embed/363345", "height": "202px", "name": "Le oui pour une hyperpr\u00e9sidence l'emporterait en Turquie", "thumbnailUrl": "https://static.euronews.com/articles/363345/385x202_363345.jpg", "uploadDate": "2017-04-16 19:59:50", "videoQuality": "md", "width": "385px", "inLanguage": { "name": "fr-FR", "alternateName": "en", "description": "https://fr.euronews.com", "identifier": "en", "url": "https://fr.euronews.com", "inLanguage": "fr-FR" }, "publisher": { "@type": "Organization", "name": "Euronews", "legalName": "Euronews", "url": "https://fr.euronews.com/", "logo": { "@type": "ImageObject", "url": "https://static.euronews.com/website/images/euronews-logo-main-blue-403x60.png", "width": "403px", "height": "60px" }, "sameAs": [ "https://www.facebook.com/fr.euronews", "https://twitter.com/euronewsfr", "https://flipboard.com/@euronewsfr", "https://www.linkedin.com/company/euronews" ] } }, "isAccessibleForFree": "False", "hasPart": { "@type": "WebPageElement", "isAccessibleForFree": "False", "cssSelector": ".poool-content" } }, { "@type": "WebSite", "name": "Euronews.com", "url": "https://fr.euronews.com/", "potentialAction": { "@type": "SearchAction", "target": "https://fr.euronews.com/search?query={search_term_string}", "query-input": "required name=search_term_string" }, "sameAs": [ "https://www.facebook.com/fr.euronews", "https://twitter.com/euronewsfr", "https://flipboard.com/@euronewsfr", "https://www.linkedin.com/company/euronews" ] } ] }

Le oui pour une hyperprésidence l'emporterait en Turquie

Le oui pour une hyperprésidence l'emporterait en Turquie
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Référendum en Turquie : les premiers résultats partiels donnent la victoire du oui. Grâce à la nouvelle constitution, Erdogan sera bien un hyper président.

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Avec un peu plus de 98% des bulletins dépouillés, le oui l’emporte en Turquie. 51,3% de oui, contre 48,7% de non, c’est le résultat partiel donné vers 19h40. L’extrême est et l’extrême ouest du pays ont voté non, mais le oui s‘étale dans tout le centre du pays.
A Istanbul et Ankara le non l’emporte d’une courte tête.
Concernant le vote à l‘étranger, il est en majorité en faveur du oui, à presque 60%. Les Turcs de France ont voté oui à plus de 62%.

#Turquie Moins de 3 heures avant la fin d'un #référendum historique sur le renforcement du président #Erdogan. La matinée en photos #AFPpic.twitter.com/JiHKKMqd8K

— Gokan Gunes (Gokan_Gunes) <a href="https://twitter.com/Gokan_Gunes/status/853568530876420096">16 avril 2017</a></blockquote> <script async src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>Les électeurs étaient appelés à se prononcer lors d'un référendum controversé sur une modification de la constitution. Elle est destinée à renforcer les pouvoirs du président turc. <blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><p lang="fr" dir="ltr">Turquie. Un référendum pour saboter la démocratie <a href="https://t.co/2tIfnWPsqI">https://t.co/2tIfnWPsqI</a> <a href="https://t.co/tZctNOliKz">pic.twitter.com/tZctNOliKz</a></p>&mdash; Courrier inter (courrierinter) 16 avril 2017

Le pouvoir exécutif sera détenu par le président, la fonction de Premier ministre sera supprimée et Recep Tayyip Erdogan pourrait rester au pouvoir au moins jusqu’en 2029. Ses détracteurs dénoncent une dérive autoritaire. > Comprendre le déclin de la démocratie en Turquie https://t.co/ZeTcTR6dLF

— Le Monde (@lemondefr) 16 avril 2017

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— Rédac France Culture (@FC_actu) 16 avril 2017

L’opposition dénonce des manipulations, et exige que soient recomptés 60% des bulletins. Le Conseil électoral supérieur turc a annoncé en plein référendum que les bulletins ne comportant pas le tampon officiel du bureau de vote seraient tout de même valides, suscitant la colère de l’opposition.

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