Wimbledon: les organisateurs accordent à Serena Williams le statut de tête de série (N.25)

Wimbledon: les organisateurs accordent à Serena Williams le statut de tête de série (N.25)
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

L'Américaine Serena Williams sera tête de série N.25 au tournoi de Wimbledon qui débute la semaine prochaine, un mois après la polémique à Roland-Garros où les organisateurs ne lui avaient pas octroyé ce statut. De retour de grossesse, Serena Williams n'occupe que la 183e place mondiale et ne peut donc théoriquement prétendre à être tête de série. L'ex-N.1 mondiale s'est malgré tout vu accorder ce statut privilégié par les organisateurs. Ceux-ci suivent en général le classement mondial pour les têtes de série, mais à Wimbledon ils se réservent le droit d'apporter des modifications pour "un tirage équilibré". Le refus des organisateurs de Roland-Garros d'accorder le statut de tête de série à Serena Williams avait été qualifié à la fin mai de "ridicule" par la fille et conseillère de Donald Trump, Ivanka. La question du traitement sur le circuit par les organisateurs des femmes de retour d'un congé maternité s'était alors posée. L'Américaine, après trois victoires sur la terre battue parisienne, avait finalement déclaré forfait avant d'affronter une autre ex N.1 mondiale en 8e de finale, Maria Sharapova. Blessée là l'épaule, elle n'avait pu défendre ses chances. En revanche, Andy Murray, lui aussi ancien N.1 mondial, qui a tout juste commencé à rejouer après un an d'absence, ne sera pas tête de série chez les messieurs. Vainqueur à deux reprises sur le gazon londonien, l'Ecossais sort à peine d'un tunnel d'un an, perturbé par un problème à la hanche qui l'a contraint à subir une opération en janvier. Son retour sur les courts au Queen's il y a quelques jours ne s'est pas passé comme prévu. Redescendu au 156e rang mondial, il s'est frotté d'entrée à l'Australien Nick Kyrgios (21e) et n'a pu éviter la défaite (6-2, 6-7 (4/7), 5-7) malgré une prestation solide. Il s'est du coup aligné à Esatbourne cette semaine sur gazon et a gagné lundi son premier match en un an, écartant le Suisse Wawrinka 6-1, 6-3. La précédente victoire de l'Ecossais remontait au huitième de finale de l'édition 2017 de Wimbledon, contre le Français Benoît Paire. Andy Murray n'a pas encore décidé s'il s'alignerait à Wimbledon la semaine prochaine.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Riner, Malonga et Tolofua en finale au Grand Slam d'Antalya

Grand Chelem de Judo d'Antalya : un podium dominé par la Corée du Sud et l'Autriche

Grand Chelem de Judo d'Antalya : Hifumi et Uta Abe dominent le podium